mercredi 18 août 2021

Macronescu notre Bokassa français

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     Macronescu le Bokassa Blanc

     et son monde à la Mad Mask



Autocrate capricieux, histrion mégalo, farfelu velléitaire, dangereux bouffon, il ajoute à sa nature perverse le désordre psychique du déguisement compulsif.

Il y a chez ce psychopathe immature un véritable fétichisme du masque. Autant matériel pour cacher ses expressions faciales et ses tics sémantiques, que pour déguiser l'expression de sa pensée et retenir ses mots. Ruser et dissimuler sont les deux marqueurs principaux de sa personnalité trouble.

Les points de comparaison ne manquent pas avec son illustre prédécesseur africain qui aimait s'entourer d'une suite de courtisans pittoresques, punir de façon spectaculaire ses opposants et arborer des tenues extravagantes pour jouer des rôles supposés valorisants.




Les rôles de composition du conducator sont multiples.

Comme l'impératrice Catherine Bokassa aux mœurs très libres, s'arrogeant des pouvoirs politiques exorbitants, la présidente Trogneux vraiment trognon a rehaussé la fonction présidentielle de son éclat, avec ses multiples facettes, beaucoup inédites.

Car les médias obéissent aux ordres interdisant de ne jamais montrer sous son vrai visage cette septuagénaire décatie, sans fards ni perruque, comme ce jour où, terrorisés par quelques manifestants un peu turbulents, les Macronescu se faisaient exfiltrer dans la plus grande pagaille.



On peut y ajouter les
aventures désopilantes de Jean-Michel, le disparu d'Amiens, un bon titre pour un polar à succès. 

Il ne manque à cette famille idéale qu'un bon imprésario lorsqu'ils auront dégagé de leur squatt du 55 rue du Faubourg St Honoré, pour mettre en valeur leurs multiples talents de transformistes.

Dernière en date de ses pitreries, Macronescu l'immature, dépourvu de personnalité propre, coincé dans un entresol entre des caprices de petit garçon et le gout de la provocation d'un ado mal fini, se déguise en Macrozensky, mal rasé et vêtu du sweet shirt d'une unité de combat (lui qui n'a pas fait son service militaire) pour tenter de ressembler au bouffon Zelensky qu'il prend pour un grand guerrier !



Une des rares fois où il avait l'air d'un président, ce fut en Afrique, pour jouer les bon bwanas, sans parvenir à effacer de son visage chafouin, cet air hypocrite et désabusé montrant à quel point la corvée lui pesait, de devoir « se mettre au même niveau que des Nègres » comme il le dira à un ministre. 


Il n'est pas vraiment raciste.
Il méprise tout autant les « sans-dents » en métropole que les pauvres d'Outre-Mer, et s'il fait des efforts pour se travestir en grand sorcier d'Océanie, c'est pour capter leurs votes.
Loin des regards, personne de sa cour ne porte de muselière.
Ni eux ni ceux qu'il a traités peu avant en aparté de « sauvages »

Mais lorsqu'il découvre fin juillet 2021 lors de son voyage en Polynésie que l'épidémie est pratiquement finie avec seulement 25% de vaccinés, il pique un énorme caprice, bave, trépigne, éructe et ordonne au gouverneur colonial de mater les indigènes en remettant en vigueur les séquestrations, les couvre feux, les ausweis et en les privant de toute sortie le dimanche !



Maman lui a dit que le masque de Zorro ne sert à rien.
Mais le bon docteur Véran lui a expliqué que leurs larbins doivent en vanter les mérites pour que les aristos du Boulon Manquant ne coulent pas une bielle.



Le conte fleur bleue de son amour féerique pour une vieille dame

Sachant que la France profonde goûte peu les tendances LBGT, ses sponsors lui avaient conseillé de masquer ses tendances naturelles, bien occultées par des médias serviles rapportant cette histoire d'amour éternel que j'avais trouvée, dès le début, invraisemblable.

Honnêtement, quel trentenaire pas plus moche ni plus idiot que d'autres, et surtout pété de thunes, va préférer une retraitée mal rafistolée aux femmes de son âge ou plus jeunes ?

Première tromperie sur la marchandise : il a attendu d'être élu pour révéler ses goûts particuliers. Entre autres son attirance pour les bad boys, repris de justice de préférence. L'homophobie est certes un délit, mais pas encore la voyouphobie.

On a donc le droit d'en parler. Puisque, de toute façon, afficher ses pulsions le fait jubiler.

« Je suis braqueur et je sors de prison » lui a dit un de ses nouveaux amis dans une vidéo diffusée en direct sur les réseaux sociaux par l’Élysée.




Néanmoins, il est assez éclectique en matière d'exotisme :





Auparavant, il avait paradé en Tunisie dans les ruelles d'un souk arborant fièrement le fez turc, qu'on appelle tarbouche au Maghreb, signe distinctif des pieux dignitaires musulmans.



Cependant, entre ses déguisements puérils d'adulte déséquilibré, ses bras d'honneur aux Français, ses numéros de farces et attrapes et ses pantalonnades comme avec McFly et Carlito, le dictateur n'est pas un caméléon surdoué comme Jarod.

Il joue très mal, reste superficiel et ne s'implique pas vraiment dans son rôle.

On ne le croit pas plus quand il enfile une tenue de pilote de chasse, de pompier, de sous-marinier voire d'astronaute, que lorsqu'il joue au président entre sérieux, emphase, arrogance, et surtout ridicule.

Les leçons de l'Actor studio n'ont pas été bien assimilées par la mère Trogneux et son jeune élève.

On est loin de ces cours prestigieux de composition où, pour être crédible, l'acteur apprend à devenir littéralement le personnage qu'il incarne.

Quoi que fassent les macronescu, c'est toujours de l'à-peu-près de carnaval, de la mascarade de kermesse, et du guignol de fête foraine.




Chef des armées qui n'a jamais été troufion, aviateur, explorateur, pompier ou marin, l'ado attardé semble se délecter de jouer à faire semblant, comme il fait semblant d'être un vrai président.

Que les vrais comme Trump, Poutine, Bolsonaro ou Erdogan n'ont jamais pris au sérieux.



Tous ces costumes trop grands pour sa petite personne lui donnent l'illusion d'avoir l'étoffe des héros. 
Passer d'un personnage à l'autre pour se valoriser est un marqueur des individus tourmentés, bourrés de complexes, qui ne supportent pas qu'on les regarde tels qu'ils sont.



Parmi les facéties les plus récentes du gamin de l'Elysée, ce freluquet se prend pour un athlète en marquant un but dans un match de foot arrangé, que les merdias complaisants encensent.



Le professeur Adriano Segatori dans son diagnostic du dictateur, alors candidat en 2017 disait :

« Macron a besoin du regard et de l’admiration des autres pour compenser son complexe d’infériorité (…) D'où son intérêt pour les mises en scène théâtrales qui ne manquent pas de rappeler, coïncidence troublante, son histoire personnelle avec son enseignante séductrice qui lui a appris le théâtre.

Trois paradigmes définissent sa personnalité  : L’idée qu’il n’existe pas de limite... Un sentiment d’omnipotence absolue... Et un narcissisme qu’il n’est pas interdit de définir comme malveillant. 

Ce psychopathe est un déviant très bien organisé d’un point de vue social et culturel. Il a une fascination pour le superficiel, et à ses débuts en politique, il développait une capacité d’attraction hors-norme. Mais lorsqu'il a cessé de plaire, telle une diva décatie, l'hystérie a remplacé la séduction.»






1 commentaire:

  1. Très bon article !
    Heureusement que je n'ai pas voté pour lui en 2017 !

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