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Par Christian Navis
Macronescu le Bokassa Blanc
et son monde à la Mad Mask
Il y a chez ce psychopathe immature un véritable fétichisme du masque. Autant matériel pour cacher ses expressions faciales et ses tics sémantiques, que pour déguiser l'expression de sa pensée et retenir ses mots. Ruser et dissimuler sont les deux marqueurs principaux de sa personnalité trouble.
Les points de comparaison ne manquent pas avec son illustre prédécesseur africain qui aimait s'entourer d'une suite de courtisans pittoresques, punir de façon spectaculaire ses opposants et arborer des tenues extravagantes pour jouer des rôles supposés valorisants.
Les rôles de composition du conducator sont multiples.
Comme l'impératrice Catherine Bokassa aux mœurs très libres, s'arrogeant des pouvoirs politiques exorbitants, la présidente Trogneux vraiment trognon a rehaussé la fonction présidentielle de son éclat, avec ses multiples facettes, beaucoup inédites.
Car les médias obéissent aux ordres interdisant de ne jamais montrer sous son vrai visage cette septuagénaire décatie, sans fards ni perruque, comme ce jour où, terrorisés par quelques manifestants un peu turbulents, les Macronescu se faisaient exfiltrer dans la plus grande pagaille.
Il ne manque à cette famille idéale qu'un bon imprésario lorsqu'ils auront dégagé de leur squatt du 55 rue du Faubourg St Honoré, pour mettre en valeur leurs multiples talents de transformistes.
Dernière en date de ses pitreries, Macronescu l'immature, dépourvu de personnalité propre, coincé dans un entresol entre des caprices de petit garçon et le gout de la provocation d'un ado mal fini, se déguise en Macrozensky, mal rasé et vêtu du sweet shirt d'une unité de combat (lui qui n'a pas fait son service militaire) pour tenter de ressembler au bouffon Zelensky qu'il prend pour un grand guerrier !
Le conte fleur bleue de son amour féerique pour une vieille dame
Sachant que la France profonde goûte peu les tendances LBGT, ses sponsors lui avaient conseillé de masquer ses tendances naturelles, bien occultées par des médias serviles rapportant cette histoire d'amour éternel que j'avais trouvée, dès le début, invraisemblable.
Honnêtement, quel trentenaire pas plus moche ni plus idiot que d'autres, et surtout pété de thunes, va préférer une retraitée mal rafistolée aux femmes de son âge ou plus jeunes ?
Première tromperie sur la marchandise : il a attendu d'être élu pour révéler ses goûts particuliers. Entre autres son attirance pour les bad boys, repris de justice de préférence. L'homophobie est certes un délit, mais pas encore la voyouphobie.
On a donc le droit d'en parler. Puisque, de toute façon, afficher ses pulsions le fait jubiler.
« Je suis braqueur et je sors de prison » lui a dit un de ses nouveaux amis dans une vidéo diffusée en direct sur les réseaux sociaux par l’Élysée.
Néanmoins, il est assez éclectique en matière d'exotisme :
Il joue très mal, reste superficiel et ne s'implique pas vraiment dans son rôle.
On ne le croit pas plus quand il enfile une tenue de pilote de chasse, de pompier, de sous-marinier voire d'astronaute, que lorsqu'il joue au président entre sérieux, emphase, arrogance, et surtout ridicule.
Les leçons de l'Actor studio n'ont pas été bien assimilées par la mère Trogneux et son jeune élève.
On est loin de ces cours prestigieux de composition où, pour être crédible, l'acteur apprend à devenir littéralement le personnage qu'il incarne.
Quoi que fassent les macronescu, c'est toujours de l'à-peu-près de carnaval, de la mascarade de kermesse, et du guignol de fête foraine.
Chef des armées qui n'a jamais été troufion, aviateur, explorateur, pompier ou marin, l'ado attardé semble se délecter de jouer à faire semblant, comme il fait semblant d'être un vrai président.
Que les vrais comme Trump, Poutine, Bolsonaro ou Erdogan n'ont jamais pris au sérieux.
« Macron a besoin du regard et de l’admiration des autres pour compenser son complexe d’infériorité (…) D'où son intérêt pour les mises en scène théâtrales qui ne manquent pas de rappeler, coïncidence troublante, son histoire personnelle avec son enseignante séductrice qui lui a appris le théâtre.
Trois paradigmes définissent sa personnalité : L’idée qu’il n’existe pas de limite... Un sentiment d’omnipotence absolue... Et un narcissisme qu’il n’est pas interdit de définir comme malveillant.
Ce psychopathe est un déviant très bien organisé d’un point de vue social et culturel. Il a une fascination pour le superficiel, et à ses débuts en politique, il développait une capacité d’attraction hors-norme. Mais lorsqu'il a cessé de plaire, telle une diva décatie, l'hystérie a remplacé la séduction.»
Très bon article !
RépondreSupprimerHeureusement que je n'ai pas voté pour lui en 2017 !
Bel article en effet et instructif par excellence.
SupprimerVoter pour lui ou des gens qui s'y rapprochent ?
Plutôt en crever de faim (un bonheur pour enfin perdre mon estomac)