samedi 26 septembre 2020

Un imposteur devenu dictateur


Interdit de séjour sur Facebook
et Twitter

L'imposteur devenu dictateur 




Toujours en retard d'une guerre ou deux, les anti-fascistes en France ne savent regarder que dans le rétroviseur. Cherchant qui, en 2020, évoque Déroulède ou Maurras, Franco, Mussolini, Salazar, Juan Peron ou Pinochet...
Sans voir que le fascisme est incarné sous leurs yeux par un histrion aux gesticulations ridicules, redoutablement trompeuses, dont les partisans ont réinventé les milices privées interdites depuis 1936. Non pour surveiller les émeutiers ou arrêter les voleurs, mais pour prêter main forte aux argousins lors du contrôles des ausweis, des muselières et des couvre-feux. 

Puis il y a eu les nouveaux délits instaurés sans passer par un vote comme requis par la constitution, puis les atteintes aux libertés individuelles garanties par cette même constitution. Sous le prétexte fallacieux de contenir la grippe pangoline.

En juillet 2021, profitant de l'atonie estivale, le tyran inspiré par ses conseillers mahométans applique les principes fondateurs de la dhimmitude : On ne contraint pas ouvertement les gens à adhérer aux choix du pouvoir en place, mais on pourrit tellement la vie des indociles qu'on finit par les dompter. En l'occurrence, en les privant de déplacements, voyages, écoles, hôpitaux, restaurants, bars, cinémas, spectacles, etc, en leur interdisant même de faire leurs courses s'ils ne se font pas vacciner. 

En violation des dispositions du code de la santé publique français et du code de Nuremberg. Mais pour Macronescu, ces textes ne sont que des chiffons de papier !
"Salauds de Français, si vous ne m'obéissez pas, je vous emmerderai jusqu'au trognon" a promis le despote. Il a tenu parole. Jusqu'au trogneux. 😉

Auparavant les sbires à grande casquette de ce psychopathe immature ont fait interner en hôpital psychiatrique, puis en prison comme un vulgaire cambrioleur Jean-Bernard Fourtillan un éminent professeur de pharmacologie âgé de 78 ans qui avait osé contester la politique sanitaire du dictateur, sur divers médias et surtout dans le film Hold-Up.

Finalement, après plusieurs mois d'emprisonnement arbitraire, sans jugement, le dictateur a consenti à le faire libérer à la mi-juillet 2021, en échange de son silence forcé.
Au secours l'URSS est de retour !

Depuis 2017, tous les marqueurs du fascisme sont là

Des voyous dans les allées du pouvoir, dotés d'accréditations protocolaires. L'intervention constante de l'exécutif dans le judiciaire. L'Etat de Droit devenu la courroie de transmission des caprices du Prince. Et le monopole de la vérité officielle accompagnant une violence et une barbarie inédites pour terroriser les opposants politiques, on a vu les milices lâchées contre les Gilets Jaunes.

S'y ajoutent la mise à mal des libertés publiques en faisant de chaque maison une prison et de chaque flic un maton, avec la muselière pour tous associée à un quadrillage  du territoire jamais entrepris contre des terroristes. Assorti de mesures ubuesques dont le ridicule odieux échappe au roitelet psychopathe. Comme décider, au plus haut niveau de l'Etat, quels aliments ou produits sont indispensables aux Français, avant de faire surveiller les supérettes par ses miliciens, plus vaillants à traquer de paisibles consommateurs qu'à neutraliser les voyous et les égorgeurs.

Avec une mention spéciale pour la tentative d'instaurer une dictature numérique sous-traitée à des mercenaires étrangers, retoquée par le Conseil Constitutionnel... Mais pas abandonnée puisque le conducator envisage d'imposer un texte identique par le biais des recommandations européennes.

Les mesures liberticides ne se comptent plus : Prolongation artificielle d'une crise sanitaire afin de pouvoir continuer à contrôler les déplacements des gens, interdiction de manifester, maintien du peuple dans une terreur qui le paralyse et destruction des liens sociaux et affectifs en instaurant un contrôle policier illégal dans la vie privée des gens. Et quand un collectif de plusieurs dizaines de médecins, biologistes, pharmaciens et scientifiques de renom, publie une tribune contre les délires dictatoriaux du  roitelet, loin d'écouter ces experts, il s'enferre dans ses diktats pétainistes d'ausweis et de couvre-feu. Et fait enfermer chez les fous un professeur qui, sous d'autres cieux, au vu de son CV, de ses publications et de ses découvertes, serait nobélisable.

Partout on retrouve la politique d'un Gribouille multicartes qui s'honore d'avoir remis dans la nature 200 djihadistes prêts à reprendre les armes, et payé 10 millions d'euros volés aux Français pour faire libérer une soi-disant otage convertie à l'islam, laquelle demande à retrouver ses prétendus geôliers !

Avant de renforcer un couvre-feu qui, bien évidemment, ne s'appliquera pas aux zones de non-droit puisqu'on n'y enverra personne pour le faire respecter. Les prédicateurs salafistes continuant à régimenter la vie sociale des immeubles, avec les dealers et caïds des cités, maîtres incontestés de la rue, interdite aux Gilets Jaunes et autres protestataires. La trahison à tous les étages pour conserver le pouvoir à tout prix est un autre marqueur des régimes fascistes déclinants !

Ce fascisme était-il inéluctable ?

Dès le départ, Macron ne tournait pas rond. Son élection sous pressions était de la petite bière. Servie par des politiciens frelatés,  inféodés aux banksters du NWO, qui le faisaient mousser : Modernité, compétence, dynamisme, probité. Un leurre pour masquer un véritable coup d'État judiciaire orchestré par les médias afin d' éliminer le seul qui pouvait le battre.


Reconnaissant (ou prudent) il augmentera sensiblement les subventions allouées aux médias stipendiés, commanditaires de decodex temple de la  vérité révélée, allié indispensable pour brouiller des cartes biseautées lors de la crise sanitaire,  jusqu'à leur allouer en août 2020 une enveloppe exceptionnelle de 483 millions d'euros, en plus des versements habituels.
Bon moyen de tenir des journalistes serviles, les uns sans talent ni lecteurs, les autres habitués au public captif des chaînes sous tutelle. Pour la plupart des individus médiocres qui, sans ce pactole, se retrouveraient au chômage, sans aucune chance de se recycler ailleurs. 

Entouré au mieux d'amateurs (une repentie témoigne) au pire de voyous, confiant à son épouse le soin de recruter à des postes clés (sur quels critères ?), dépassé par les événements, ne sachant répondre au peuple que par la menace et la  violence, faisant condamner lors de procès expéditifs les Gilets Jaunes rougis du sang que sa milice a fait couler... Avant d'assigner les gens honnêtes à domicile comme des malfaiteurs quand les prisons relâchent par milliers des délinquants dangereux, parce que ce velléitaire inapte à la fonction n'avait pas su ou pas voulu prendre les bonnes décisions au début de la crise sanitaire.

Et quand 53 pays lui apportent un démenti cinglant, en affirmant que l'hydroxychloroquine a sauvé des milliers de vies et aurait pu en sauver bien davantage sans les polémiques entretenues autour du professeur Raoult pour complaire à Big Pharma, il esquive, regarde ailleurs, parle d'autre chose, puis autorise discrètement le "poison" qu'il avait interdit.

Simple diversion avant d'essayer d'imposer un prétendu vaccin-éclair qui est en réalité une expérimentation génique pour laquelle on cherche des cobayes humains, par la ruse ou la contrainte, ce qui est interdit par toutes les conventions internationales depuis les procès de Nuremberg.
Alors bien sûr, on essaie de rassurer les gens en prétendant que ce ne sera pas obligatoire. Comme Buzyn disait que le confinement était inutile...
Ou comme le comité médical du gouvernement affirmait que les muselières ne servaient à rien et de toute façon ne seraient jamais obligatoires...
Ou encore comme la caste politico-médiatique dans un bel élan unanimiste (et désintéressé ?) chantait les louanges du remdevisir présenté comme un produit miracle dont on a reconnu tardivement les effets indésirables.
Le psychopathe et ses sbires sont coutumiers des affirmations - réfutations, ordres et contrordres, dialogue et menaces, pour mieux désorienter la population ! C'est plus facile de manipuler des gens qui ne savent plus à quel saint se vouer ! Du début à la fin, le règne de cet histrion aura été une tragique et criminelle mascarade.

Justifier l'injustifiable

Par un déni systématique de leurs échecs érigé en mode de gouvernement, ce psychopathe et ses loufiats expliquent les « bonnes raisons » pour lesquelles ils ont détruit des vies, des emplois, des milieux socio-professionnels, puisé dans les caisses, menti, triché, truqué, servi leurs amis, manipulé les institutions et ruiné leurs adversaires. Ils assurent, le torse bombé, le menton relevé et le regard glacial, mimant inconsciemment Mussolini, que c'était « pour préserver l'avenir, vous finirez par comprendre... » Avec le rictus qui va bien sous-entendant : « Vous l'auriez déjà compris si vous étiez moins nuls !»

Par la suite, pas du tout complexés par l'étalage de leur impéritie, le conducator et ses loufiats compissaient l'Etat de Droit et leurs propres diktats sanitaires, en permettant à des "émeutiers émotifs" indigénistes, identitaires ou islamistes 
de s'affranchir des lois de la République en occupant la rue et en tenant des propos menaçants... 
Après avoir tenté vainement avec la loi Avia d'atomiser la liberté d'expression des patriotes, en sous-traitant la censure à des réseaux de cyber-mercenaires. Sans imaginer que les opposants les plus pugnaces pourraient transférer en Russie leurs sites, blogs et vidéos pour échapper aux sbires de la webstapo. Ce qu'ils ont d'ailleurs commencé à faire après les vagues de cenSSures inqualifiables de Facebook et Twitter.

Condamnant à l'ostracisme et à la mort sociale quiconque le contrarie, il a restauré le bon plaisir du roi et le crime de lèse-majesté, au point de faire persécuter par sa milice des braves gens qui s'étaient permis d'afficher des slogans critiques envers Sa Grandeur...
Une tâche qui ne rebute pas ses sbires, zélés au point d'arrêter le 14 juillet 2020 un homme qui avait osé s'adresser au roitelet sans passer par le protocole ! À comparer avec leur inertie honteuse face aux 120 à 150 agressions et crimes de sang perpétrés chaque jour.

Mais il est moins dangereux et plus juteux de serrer un porteur de pancarte ou un réfractaire à la muselière, que de traquer les racailles qui se sont emparées de la rue.
Et puis cela entretient la bisbille entre la droite courbe prête à toutes les compromissions pour aller à la gamelle, et les patriotes qui rejettent ces combines de pique-assiettes.



La dictature clinquante d'un m'as-tu-vu

Jusqu'à Macron, les dictatures fascistes s'installaient en montrant leur force et en pratiquant l'intimidation et la violence avant  d'arriver au pouvoir.
Lui a attendu d'y être installé pour révéler sa vraie nature, tout en surjouant le  numéro du fascisme BCBG à visage humain. Avec des propos mielleux masquant son air chafouin et une emphase rhétorique pour enrober son hystérie, ce caractériel psychopathe a détourné les institutions verticales de la Vème république pour faire de la France un royaume d'Ubu Roi sous la férule de ses tontons macoutes.
Seraient risibles si leurs conséquences n'étaient tragiques, les oukases du dictateur décrétant qu'on risque moins d'attraper le covid dans un métro bondé qu'à la terrasse d'une guinguette.

Despote frimeur, il  a inventé le fascisme clinquant en claquant près d'un million d'euros soutirés dans la poche des Français pour faire recouvrir son bureau de feuilles d'or et en dépensant 600.000 euros de fleurs pour décorer l'Elysée !
Et à l'apogée de sa folie, Néron a interdit aux supermarchés de vendre des petites culottes, des collants et des chaussettes, articles qu'il jugeait non indispensables ! 😠

Le masque anti-virus pour tous est le symbole pathétique de ce tyran qui, dès son irruption en politique, a avancé comme un bandit masqué.
Dissimulant sous des flonflons de fête foraine ses appétits féroces de domination.
Recouvrant d'un vernis de bienveillance feinte une violence inouïe contre les Gilets Jaunes.
Satisfaisant ses délires de psychopathe trouvant son plaisir dans l'humiliation et les souffrances infligées à ses victimes, avec toute l'inventivité d'un sadique pervers dans des mesquineries minables. Comme le harcèlement de promeneurs en montagne ou à la campagne, quand les émeutiers saccagent les villes impunément. La répression des baigneurs nonagénaires qui essaient de soulager leurs articulations, et la traque des surfeurs, quand des péniches de débarquement débordant de clandestins,  passent tranquillement à côté...

Il s'est déguisé en défenseur de l'unité nationale afin de satisfaire les objectifs de ses sponsors du NWO  : Disloquer la Nation France pour la réduire à une succursale des banksters. Ce qui implique de remplacer une population attachée à son terroir et à ses traditions par des prédateurs vagabonds et sans racines que seul le fanatisme religieux réunit.

Un transparent succède à un insignifiant

Macron qui n'a pas la carrure pour porter l'habit de président a l'air engoncé dans sa tenue d'imperator. Pour que ça se remarque moins, il s'entoure de nullités authentiques et d'arrivistes flagorneurs se complaisant dans leur numéro de loufiats.
Laquais ringards ou jeunes loups édentés, aucun ne doit faire de l'ombre au conducator en affichant des compétences et une intelligence supérieures à la sienne. 
Quel que soit le remaniement, c'est la règle d'or ! 
Edouard Philippe a été éjecté du jour où il a commencé à se prendre pour un premier ministre

Comme tous les psychopathes, le despote a une appétence marquée pour la mise en scène à condition de tenir le premier rôle. Ceux qui lui donnent la réplique doivent être de simples figurants lui servant de faire-valoir.
Les cours de théâtre donnés par Brigitte quand il avait 15 ans ont renforcé cet égotisme naturel. Comme il s'attend à des standing ovations, lorsqu'il a affaire à des interlocuteurs moins flatteurs que ses courtisans habituels, le dialogue se résume à des moments de grande fébrilité suivis de crises d'hystérie.
Le monologue où il ne risque pas d'être contredit a sa préférence.

Fourbe et tortueux, la tromperie, la poudre aux yeux et les déclamations martiales font partie de son numéro d'acteur.
Un one man show où il mène l'attaque contre le virus, en paralysant tout le pays dans l'attente d'un hypothétique vaccin.
Et une pantalonnade où il déclare la guerre au séparatisme islamique avant d'aller se prosterner devant les dirigeants du CFCM, avant d'envoyer  ses ministres inaugurer des mosquées... En allouant 10 millions d'euros pour l'enseignement de l'arabe et en encourageant ses juges à condamner Eric Zemmour qui dénonce précisément ce séparatisme.

En outre, à la différence des managers talentueux qui savent animer une synergie des compétences, Manu s'affirme comme le  roi du casting à contre-emploi : Le binational Eric Dupond-Moretti avocat d'Abdelkader Merah et des Balkany à la justice, la folklorique Roselyne Bachelot animatrice de télé réalité à la culture, la féministe engagée Marlène Schiappa associée à Gérald Darmanin accusé de viol, promu premier flic de France, et un certain Olivier Dussopt visé par une enquête de l’Office central de lutte contre la corruption nommé ministre des comptes publics.
 
On imagine sans peine la jubilation du gamin provocateur que Manucescu est resté, en nommant des personnalités aussi clivantes dans son gouvernement de grouillots encadrés par un sous-chef de bureau. Ou lorsqu'il se délecte à choquer le bourgeois, du moins le croit-il, en invitant à l'Elysée une faune pour le moins pittoresque.



Le bal des vampires

Le psychopathe s'est entouré de sociopathes à son image. Des individus monstrueux, inhumains, totalement dénués d'empathie, sûrs et satisfaits d'eux mêmes, qui arborent le sourire odieux du travail bien fait à n'importe quel prix.
Les éborgnés et les mutilés, les gens qui triment et qui souffrent, ceux qui s'étouffent dans le bouillon de culture d'un masque à l'efficacité douteuse, les commerçants ruinés par des interdictions de travailler odieuses et un couvre-feu absurde, ils ne veulent pas savoir que ça existe.
D'ailleurs en dehors de leur caste, il n'y a que des sous-hommes.
Des « riens du tout » sans intérêt.

Ainsi fonctionne le néofascisme dans la France de 2020 tout au long d'une chaîne de commandement qui va du sommet jusqu'aux exécutants et dont le point commun, quelle que soit la fonction, est d'être tous des sociopathes se délectant de l'exercice de leur domination. Une perversion dont ils ont besoin autant que de respirer pour exister.

« Ne me parlez pas de répression ou de violences policières, ces mots sont inacceptables » dira le conducator avant de conclure, péremptoire : « Je ne suis pas un dictateur ! »
Confronté à un tel déni de la réalité par des « personnes ordinaires », n’importe quel psychiatre ferait interner les auteurs de telles violences, réellement commises de façon répétitive, et virtuellement effacées. Sans le moindre remords parce qu'il s'agissait à leurs yeux de faits sans importance.
Comme ces loups garous de légende qui, une fois recouvrée leur forme humaine, oublient leurs victimes et reprennent leur petit train train quotidien.





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