Interdit de séjour sur Facebook
et Twitter
Manu le dictateur immature en culottes courtes
Par Christian Navis
Il
n'a pas la stature virile et la moustache conquérante d'un Staline,
d'un Saddam Hussein ou d'un Maduro. Et il n'a pas non plus une cour
de groupies à sa dévotion. Il lui manque ce que l'imagerie
populaire tient pour les attributs du chef. À
première vue, ce freluquet semble banal. Fade. Transparent.
Inexistant. Et en plus asservi aux maîtres du fascisme climatique. Cela ne l'en rend que plus dangereux.
Et que dire de ces bandes de voyous auteurs de violentes agressions filmées, bénéficiant d'une étonnante mansuétude ou d'une troublante cécité de la part des sbires de Macron... Et dont, pour la plupart des observateurs, il est clair qu'une telle impunité ne peut profiter qu'à des barbouzes appartenant à des officines de polices parallèles. Des fauteurs de troubles stipendiés qui n'apparaissent que dans les manifs politiques, jugées trop critiques envers le pouvoir, cassent tout pour discréditer les opposants, et disparaissent sous l'œil impavide de la milice officielle...
Aujourd'hui il est permis de s'étonner de la célérité avec laquelle l'ANSM a déclaré l'arrêt des tests sur le nouvel usage de la chloroquine quand généralement ce genre d'étude prend un an et plus... L'ANSM impliquée dans les scandales du Médiator, de la Depakine et du Levothyrox, et traduite en justice pour ses erreurs.
Le tout encadré par des sanctions pénales abusives décidées pour appuyer ces mesures autoritaires sans que les représentants élus du peuple en aient débattu et les aient votées. Même si ces diktats furent validés un mois et demi après la fin du confinement, ce rattrapage a piétiné le principe constitutionnel de non-rétroactivité.
Mais chacun sait désormais avec les affaires Fillon, Kohler et les barbouzes autour des avocats de Sarkozy, que Macron et ses sbires s'assoient sans vergogne sur le Droit et la procédure.
Immature
et capricieux
Sous
ses airs benêts d'enfant-roi, se cache un pré-ado complexé qui n'a
jamais résolu son œdipe. Et pour cause. Au plan psychologique il
est resté bloqué entre deux étages. Dans un entresol entre
l'enfance et l'âge adulte. Où des caprices puérils de gamin et le
besoin de s'affirmer d'un éternel adolescent le poussent à tous les
défis. Toutes les transgressions. Toutes les provocations et toutes
les extravagances. Faute de pouvoir violer des femmes, il a violé la
République.
C'est
un être narcissique. Il a un besoin pathologique de plaire ou de
dominer (qui sont les deux faces de la même pièce) pour
s'affirmer...
Tantôt
arrogant, méprisant, odieux avec des remarques insupportables
montrant à quel point il évolue dans un univers parallèle...
Tantôt démagogue tentant de se mêler à la populace qu'il
dédaigne, ou allant danser avec des jeunes
gens dont il se méfie, parce que les uns et les
autres sont indignes de Sa Grandeur.
S'il
s'est entouré de personnages peu recommandables, mais
costauds et déterminés c'est sans doute une résurgence de l'époque
où, enfant chétif et craintif, il devait attendre des grands dadais
qu'ils le défendent. On a presque tous connu un petit bourge
souffre-douleur de la classe, devenu chef de bande en donnant de
l'argent aux malabars de l'école
et en faisant leurs devoirs.
On
le dit intelligent. Son QI paraît correct mais ce n'est pas un génie.
Et quand il prétend inscrire dans la constitution le prétendu réchauffement climatique, il est permis de douter de son bon sens. Pourquoi ne pas interdire les tremblements de terre, les cyclones et les éruptions volcaniques tant qu'il y est ?
Surtout, il est totalement dépourvu d'intelligence sociale
Surtout, il est totalement dépourvu d'intelligence sociale
Manipulateur comme un psychopathe qui prépare minutieusement ses
mauvais coups. Sournoisement en espérant que personne ne se doute de
rien parce que le courage physique n'est pas dans sa nature. Les images de ses exfiltrations montrent un sacré pétochard !
Pris les mains dans le pot de confiture, il niera en trépignant, prétextant que le bocal est tombé tout seul et qu'il a voulu le rattraper. Parce qu'il prend les autres pour des imbéciles et possède un culot incommensurable. Trait avéré des psychopathes.
Pris les mains dans le pot de confiture, il niera en trépignant, prétextant que le bocal est tombé tout seul et qu'il a voulu le rattraper. Parce qu'il prend les autres pour des imbéciles et possède un culot incommensurable. Trait avéré des psychopathes.
Prévisible
et sans imagination
Pour
le reste, il est prévisible comme un premier de la classe doté
d'une bonne mémoire et d'un esprit de fayot. Les enseignant(e)s ont
du l'adorer. Surtout une. Avec pour corollaire, l'incapacité de
réfléchir par lui même, de discuter ce que ses maître lui ont inculqué, de se remettre en cause hors du prêt-à-penser, et de
faire des choix au-delà d'un canevas pré-établi.
Le résultat de cette programmation est qu'il est convaincu d'avoir
toujours raison, qu'il ne supporte pas la moindre critique tenue pour
une offense personnelle, et s'entoure de ministres « amateurs »
totalement incompétents, afin qu'aucun ne puisse paraître meilleur
que lui dans son domaine d'expertise.
Son
inaptitude à réagir a tempo, son incapacité à prendre les bonnes
décisions en temps et en heure, son blocage imaginatif l'empêchant
d'anticiper, on les a vus lors de la crise sanitaire... Où après
une succession de décisions hasardeuses, contradictoires et
aberrantes, quand il fut confronté à une réalité qu'il ne pouvait
maîtriser, ce velléitaire ne trouva rien de mieux que d'enfermer tout le monde.
Avant de faire arrêter et emprisonner
quiconque osait le critiquer publiquement. Comme ces confinés dans
diverses villes de France qui affichaient des slogans désapprobateurs
à leurs fenêtres. Ou ces personnes appelant sur le web à
manifester lors du déconfinement, embarqués par sa milice et
incarcérés sans autre forme de procès.
Je
parle de « milice » car une police républicaine ne se
comporterait pas de la sorte. D'ailleurs ceux qui étaient envoyés "au contact" étaient judicieusement choisis : Débutants endoctrinés, laissés pour compte poussés à faire du zèle et anciens placardisés qui avaient perdu la main et trouvaient là une occasion de rebondir.
Les avantages procurés par leur infamie servirent à motiver les hésitants.
Il les avait testés entre 2018 et 2020, quand arrêter et incarcérer des gens sans jugement,
perquisitionner sans commission rogatoire, écouter illégalement des avocats et tabasser des
suspects voire de simples témoins gênants ne pouvait relever d'une légitime décision du maintien de l'ordre.
Ou pire encore quand, lors des manifs des gilets jaunes, ce triste sire laissait éborgner et mutiler par ses sbires des centaines d'honnêtes citoyens qui demandaient juste à vivre un peu mieux... En clamant qu'il était à leur écoute ! Sans le moindre remords ni la moindre empathie. Des traits communs aux psychopathes et aux sociopathes.
Ou pire encore quand, lors des manifs des gilets jaunes, ce triste sire laissait éborgner et mutiler par ses sbires des centaines d'honnêtes citoyens qui demandaient juste à vivre un peu mieux... En clamant qu'il était à leur écoute ! Sans le moindre remords ni la moindre empathie. Des traits communs aux psychopathes et aux sociopathes.
Et que dire de ces bandes de voyous auteurs de violentes agressions filmées, bénéficiant d'une étonnante mansuétude ou d'une troublante cécité de la part des sbires de Macron... Et dont, pour la plupart des observateurs, il est clair qu'une telle impunité ne peut profiter qu'à des barbouzes appartenant à des officines de polices parallèles. Des fauteurs de troubles stipendiés qui n'apparaissent que dans les manifs politiques, jugées trop critiques envers le pouvoir, cassent tout pour discréditer les opposants, et disparaissent sous l'œil impavide de la milice officielle...
Une technique de manipulation des foules passée dans l'histoire sous le générique incendie du reichstag.
Quand 2.200 prisonniers politiques (du jamais vu depuis les guerres coloniales !) ont goûté à la paille des cachots. Pour la plupart des braves gens sans antécédents, condamnés lors de procédures expéditives parce qu'ils s'étaient trouvés au mauvais endroit au mauvais moment.
Le conducator a-t-il
personnellement donné les ordres ? Ou est-ce l'action de
laquais trop zélés comme Castaner avant de recevoir son congé ? On ne le saura sans doute jamais.
L'omerta les protège.
Après tout, rien ne prouve que Hitler a
ordonné personnellement d'assassiner tous les Juifs. Il n'était
même pas présent à la conférence de Wannsee où fut décidée et
organisée la « solution finale »
L'avis
d'un psychiatre
Le
professeur Adriano Segatori, psychiatre
réputé, écrit : « À l’âge de 15 ans, le
jeune Emmanuel Macron a subi une agression sexuelle de la part de son
professeur de français qui, à l’époque des faits, avait 39 ans.
Au
lieu de la vision à l’eau de rose de cette union, je vois plutôt
le fait que le développement d’Emmanuel Macron s'est bloqué
prématurément en pleine adolescence à cause d’une opération de
séduction à la fois psychique et physique. Ce qui s’est
passé est la transgression du tabou d'inceste par procuration.
(...)
Si cette union avait eu lieu dans un environnement prolétaire - cet
environnement qu’Emmanuel Macron méprise profondément - il serait
suivi aujourd’hui par les services sociaux tandis que Brigitte
Trogneux aurait été en prison.
(…)
Depuis
sa jeunesse, Macron nourrit une ambition hors-norme; il a besoin du
regard et de l’admiration des autres pour compenser son complexe
d’infériorité. Trois paradigmes définissent sa personnalité
psychopathe : L’idée qu’il n’existe pas de limite... Un
sentiment d’omnipotence dès l’enfance, encore plus présent à
l’âge adulte... Et un narcissisme qu’il n’est pas interdit de
définir comme malveillant...
(...)
Un
psychopathe est un déviant qui est très bien organisé d’un point
de vue social et culturel. (…) Par exemple, Macron a une
fascination pour le superficiel, et à ses débuts en politique développait une capacité d’attraction hors-norme. Avec un malaise dans la
confrontation que nous voyons dans ses crises d’hystérie, au
moment où l’admiration pâlissante souligne les faiblesses de son
identité.
Cette
hystérie est caractérisée par son intérêt pour les mises en
scène théâtrales qui ne manquent pas de rappeler, coïncidence
troublante, son histoire personnelle avec son enseignante séductrice
qui lui a appris le théâtre.
Lorsque
Macron parle des pauvres ou qu’il insulte les prolétaires du Nord
en les réduisant à des fumeurs ou à des alcooliques invétérés,
lorsqu’il dénigre les femmes en les rabaissant au rang
d’ignorantes, nous revenons dans le discours incontrôlé expliqué par le
psychanalyste Jacques Lacan.
Macron
ne voulait pas le dire mais son inconscient a parlé pour lui car il
croit à ce qu’il dit et il ne peut s’empêcher de l’exprimer.
Il se défend en modifiant le sens de ses déclarations mais sans
jamais exprimer de remord car il ne ressent jamais de
culpabilité.
Au
point de vue psychiatrique, comme tous les psychopathes, Emmanuel
Macron est un individu extrêmement dangereux.
N'ayant pas vu le dictateur à l'œuvre lors de son diagnostic, Segatori n'a pu y associer la pathologie de manipulateur pervers qui double souvent celle de psychopathe. Cette déviance sévit généralement en privé, dans les relations de couple où le dominant écrase le dominé en le dévaluant systématiquement. Attitude qu'il ne peut adopter avec Brigitte qui le contrôle psychologiquement du fait de la genèse et de l'originalité de leur relation... Il transpose donc ce schéma à l'échelle d'une nation, comportement typique d'un dictateur.
Manucescu crée la confusion par ordres et contrordres décousus, insinue le doute par des critiques injustifiées suivies d'humiliations à répétition, infiltre la crainte par des menaces tonitruantes et des punitions arbitraires, crée un climat oppressif avec son Rivotril, ses vaccins et sa milice, puis rend un peu d'espoir à ses victimes avant de relancer sa torture mentale.
Les
atteintes à la liberté :
On
va laisser de côté ce qui pourrait relever de maladresses. Comme
par exemple cette circulaire du 9 mai 2020 où le ministère de
l'inéducation antinationale exige des enseignants qu'ils fassent
taire les enfants contestant l'autorité de l’État, dénoncent leurs « propos inacceptables » et signalent
leurs parents... Même si une fois ces vilenies exposées en place
publique, les responsables ont minimisé leurs propos
et expliqué qu'on les avait mal compris.
Plus inquiétante fut la tentative de créer une webstapo par la loi Avia
supposée combattre « la haine en ligne » Même si le Conseil constitutionnel a retoqué 95% du texte considérant qu'il s'agissait d'une atteinte disproportionnée à la liberté d'expression, les néo-fascistes macroniens annoncent sans vergogne préparer une "autre loi dans le même esprit qui passera mieux" (sic)
Ce sont les hébergeurs, dont l'appétence pour la censure est avérée, qui auraient été chargés d'éliminer dans les 24 heures sous peine de devoir payer de lourdes amendes (chiffrées en millions d'euros) tout contenu contesté.
Or la
haine n'est pas un concept juridique quantifiable.
Ensuite, avec des
interprétations, elle peut être facilement instrumentalisée à
des fins politiciennes. Des adversaires politiques ne se détestent-ils
jamais ?
Enfin ce concept à géométrie variable s'oppose à l'obligation de définir
précisément dans la loi pénale les éléments constitutifs d'un
délit pour que son auteur puisse être poursuivi et condamné. C'est
un des éléments de contrôle sur lequel la chambre criminelle de la
Cour de Cassation se montre vigilante.
Or les tribunaux et cours de la République auraient été dessaisis de facto des délits d'opinion commis par voie numérique.
Ce sont les hébergeurs, dont l'appétence pour la censure est avérée, qui auraient été chargés d'éliminer dans les 24 heures sous peine de devoir payer de lourdes amendes (chiffrées en millions d'euros) tout contenu contesté.
Une violation des droits
constitutionnels de la défense, qui aurait permis d'être condamné et banni par les
commissaires politiques omnipotents que sont devenus Facebook, Google,
Twitter, Youtube et Tutti Quanti.
L'arbitraire absolu sans acte d'accusation, sans procédure contradictoire ni possibilité
d'appel face à des mercenaires étroitement liés au N.O.M
De plus, alors que la loi initiale ne visait que les plateformes ayant plusieurs millions de visiteurs par mois, les mesures finales incluaient n’importe quel fournisseur de contenu. Qu'il s'agisse d'une vitrine d'e-commerce comme Amazon, du forum d'un site de presse, d’une plateforme associative ou régionale, d’un petit hébergeur ou de tout élément local d’un réseau social centralisé.
Les ogres du Net déjà en situation de quasi-monopole pouvaient déléguer leur modération à des outils de censure automatisée et attendre que la concurrence dépourvue de tels moyens soit submergée par un tsunami de réclamations assorties de délais très courts.
Il serait temps que des chefs d'Etats, eux mêmes censurés par ces plateformes de soi-disant libre expression, comprennent qu'il est urgent de réguler l'emprise des géants du Net qui n'ont aucune légitimité démocratique et abusent de leur position dominante pour décider de façon partiale, tantôt stupide (bots) tantôt sournoise (modérateurs militants) tantôt cupide (intérêts liés) qui a tort et qui a raison, qui détient la vérité et qui ment, qui doit être mis en valeur et qui doit être banni.
S'en remettre à l'arbitraire des monstres du Web, renforcerait l'emprise de ces entités sur la société numérique, et porterait gravement atteinte à la liberté de chacun.
Comme tous les grands Etats disposent d'une législation anti-trusts, qu'attendent leurs dirigeants pour comprendre que ces entreprises de manipulation de l'opinion vont finir par les étouffer s'ils ne les démantèlent pas tant qu'il est encore temps ?
S'en remettre à l'arbitraire des monstres du Web, renforcerait l'emprise de ces entités sur la société numérique, et porterait gravement atteinte à la liberté de chacun.
Comme tous les grands Etats disposent d'une législation anti-trusts, qu'attendent leurs dirigeants pour comprendre que ces entreprises de manipulation de l'opinion vont finir par les étouffer s'ils ne les démantèlent pas tant qu'il est encore temps ?
Après l'annulation des dispositions de loi Avia, on revient à la censure d'avant. L'écrémage y est confié pour 90% à des algorithmes dits « intelligents », trop nuls pour discerner un
discours de haine d'un propos qui la condamne, le premier degré du persiflage ou le témoignage de
l'invective... Alors pour éviter des réclamations et des polémiques, dès qu'un mot tabou
apparaît, éventuellement associé à un autre, des robots
stupides ont été programmés pour tout éliminer... Si les maîtres des machines, addicts au politiquement correct, n'interviennent pas directement.
Parmi les exemples les plus significatifs, le bannissement des Brigandes des réseaux dits sociaux, lesquels allergiques à la verve des chanteuses droitistes, tolèrent sans sourciller de la part des rappeurs, des diatribes islamistes ou anarchistes infiniment plus agressives et menaçantes !
Ou encore dans un passé récent, sur simple injonction policière, l'office central de lutte contre la cyber-criminalité (OCLCTIC) a fait retirer une caricature présentant Macron et ses acolytes dans des postures de Pinochet et de ses complices. Au prétexte administratif d'incitation au terrorisme et à la pédophilie !!
Ou encore dans un passé récent, sur simple injonction policière, l'office central de lutte contre la cyber-criminalité (OCLCTIC) a fait retirer une caricature présentant Macron et ses acolytes dans des postures de Pinochet et de ses complices. Au prétexte administratif d'incitation au terrorisme et à la pédophilie !!
Avant la loi Avia, de juillet 2019 à avril
2020, Google avait dénombré 612 demandes judiciaires, contre 3 893
demandes administratives de suppression d'articles ou de pages.
Seules les premières sont publiques. Comme les cafards, les cenSSeurs
préfèrent s'agiter dans l'ombre.
Exemple vécu d'une opinion que la censure de FaceBook a bloqué :
« Ces présentateurs
de la télé qui, depuis belle lurette usurpent la carte de
journaliste, sont tous des clones et des militants d'une
pseudo-gauche anar-caviar. Profiteurs connivents d'un système
imprécateur gorgé de moraline, où l'on se coopte et où on se sert
mutuellement la soupe... Pour ma part, si par mégarde j'en
laisse un(e) s'emparer de ma télé, je zappe immédiatement. Et je
prends un antihistaminique. Car même à faible dose, ces gens-là me
donnent de l'urticaire ! »
Je n'ai changé ni un mot ni une virgule, et je ne vois toujours pas où est le délit !
Le Ministère de la Vérité s'est mis en place sans que la plupart des Français apeurés, résignés ou indifférents y trouvent à redire.
Des crimes contre l'humanité :
Mais
il y a plus grave que ces entorses à la démocratie et à la liberté
d'expression. Si
l'on s'en tient à la lettre du Code Pénal, Macron et ses sbires
pourraient être accusés de crimes contre l'humanité selon les
dispositions de l'art 212-1 - 2°, 5° et 11° du Code Pénal ainsi libellés :
« Constitue
un crime contre l'humanité et est puni de la réclusion criminelle à
perpétuité l'un des actes ci-après commis en exécution d'un plan
concerté à l'encontre d'un groupe de population civile dans le
cadre d'une attaque généralisée ou systématique :(.....)
2°
L'extermination,
5°
L'emprisonnement ou toute autre forme de privation grave de liberté
physique en violation des dispositions fondamentales du droit
international ;
11°
Les actes inhumains de caractère causant intentionnellement de
grandes souffrances ou des atteintes graves à l'intégrité physique
ou psychique. »
Pourraient
trouver également application les dispositions de l'art 211-1
punissant de la réclusion criminelle à perpétuité « tout
plan concerté tendant à la destruction totale ou partielle d'un
groupe déterminé à partir de tout critère arbitraire et de
commettre ou faire commettre, à l'encontre de membres de ce groupe,
l'un des actes suivants : atteinte volontaire à la vie (.....) »
Les
faits vus au travers du Droit :
1
/ Sur le chef d'accusation du 212 – 1 11° : 11°,
alors que la menace de pandémie était connue dès le mois de
décembre 2019, un arrêté du 13 janvier 2020 a déclaré
« substance vénéneuse » l'hydroxychloroquine, une molécule
utilisée depuis 80 ans, tombée dans le domaine public donc bon marché, et dont
les effets anti-viraux étaient connus.
Par la suite, les médias aux ordres clamèrent qu'elle serait inefficace et même dangereuse. Dans ce cas, pourquoi avoir attendu tout ce temps pour l'interdire en catastrophe ?
Puis est venue une nouvelle avanie cynique : Par décret du 25 mars 2020, le gouvernement a limité l’usage de ce remède aux cas désespérés afin de pouvoir en dénoncer
l’inefficacité. Surtout quand on sait que prescrire de l'hydroxychloroquine à un moribond sans le combiner à l'azylthromycine revient à traiter un cancéreux avec de la tisane de queues de cerise...
Le tout assorti d'une campagne médiatique hystérique de
dénigrement des médecins qui proposaient cette
thérapie. Menacés par ailleurs des foudres de l'administration
s'ils revendiquaient le droit de choisir librement leur prescription, conformément au code de déontologie. Même
Pétain et Laval lorsqu'ils ont créé l'Ordre n'avaient pas osé
aller aussi loin !
Aujourd'hui il est permis de s'étonner de la célérité avec laquelle l'ANSM a déclaré l'arrêt des tests sur le nouvel usage de la chloroquine quand généralement ce genre d'étude prend un an et plus... L'ANSM impliquée dans les scandales du Médiator, de la Depakine et du Levothyrox, et traduite en justice pour ses erreurs.
Entre les deux textes cités, les reîtres ont fait détruire délibérément des
centaines de millions de masques protecteurs en les prétendant
périmés ou inadaptés, ce qui était faux pour 90% d'entre eux, et
ils ont bloqué dans les procédures dilatoires des rouages
administratifs les budgets qui auraient permis l'achat de tests.
On
peut y ajouter l'impossibilité matérielle faite à des millions de
personnes de se soigner pour des maladies chroniques, ou des
affections autres que celles résultant du covid, du fait de la
fermeture arbitraire des cabinets médicaux et de l'interdiction
faite aux patients de se déplacer normalement.
Une inconséquence criminelle peut être lue à travers la
chronologie des faits et leur réitération malgré les nombreuses
réserves et mises en garde provenant du corps médical en général,
et des virologues et épidémiologistes en particulier. Lesquels
n'ont pas été entendus afin de ne pas nuire aux intérêts
d'entreprises pharmaceutiques dont les dirigeants, proches du
gouvernement, devraient répondre de leur côté du chef de
corruption active, de conflits d’intérêts et de complicité
d'homicides.
2/
En ce qui concerne la définition du 2° des crimes contre
l’humanité, le décret du 28 mars 2020 prescrivant,
facilitant et incitant à l'usage de Rivotril afin d'achever les
personnes les plus âgées répond au qualificatif juridique
d' « extermination », tuerie de masse délibérément
organisée selon des critères discriminatifs précis : l'âge
en l'occurrence.
3/
Pour ce qui relève du 5° des crimes contre l'humanité,
peuvent être considérées comme constitutives d'atteintes graves et
répétées aux droits civils des citoyens : L'assignation à
domicile arbitraire de toute une population, sans condamnation
préalable des personnes pour quelque délit que ce soit, instaurant
une présomption de culpabilité généralisée s'appliquant de façon
aveugle à chacun(e) dans un climat de méfiance, de mal être et de
terreur entretenu par des harcèlements systématiques opérés par des instruments de la répression trop zélés.
Le tout encadré par des sanctions pénales abusives décidées pour appuyer ces mesures autoritaires sans que les représentants élus du peuple en aient débattu et les aient votées. Même si ces diktats furent validés un mois et demi après la fin du confinement, ce rattrapage a piétiné le principe constitutionnel de non-rétroactivité.
Mais chacun sait désormais avec les affaires Fillon, Kohler et les barbouzes autour des avocats de Sarkozy, que Macron et ses sbires s'assoient sans vergogne sur le Droit et la procédure.
Que le pouvoir change pour de bon, et l'on aura sûrement une autre appréciation de ces textes et des actions qui leur furent liées !
4/
En ce qui concerne le 212 – 1 – 11°, ne pas oublier les GJ :
on
pourra prendre en considération
les
ordres donnés pour terroriser et mutiler des manifestants pacifiques
en utilisant, pendant toute une année, chaque semaine de façon
délibérée une panoplie d'armes létales telles que des grenades de
combat rapproché et des balles renforcées à projection ultra
rapide dites de dispersion, spécialement calibrées pour faire le
plus de dégâts possible, et dont on savait qu'elles provoquaient
des énucléations et des amputations à répétition.
Auxquelles
il convient d'ajouter les jet de gaz corrosifs et asphyxiants en
plein visage, provoquant des cécités et des défigurations. Avec la
triple circonstance aggravante de préméditation, de réitération
systématique du crime en toute connaissance de cause, et
d'association de malfaiteurs.
Ces
exactions ont occasionné des dommages physiques et psychiques à
plusieurs milliers de personnes, et parmi elles des centaines de
blessés très graves qui devront obtenir réparation. En attestent
l'abondante documentation vidéo, les nombreuses déclarations des
soignants ainsi que les témoignages de quelques policiers qui ont
préféré se porter malades ou prendre des congés plutôt que de
se rendre complices du dictateur.
Les
autres gradés et subalternes de la force publique auteurs de ces
agressions physiques devront être poursuivis du chef de coups et
blessures volontaires, tentatives d'homicides, tortures et
traitements dégradants. Leur culpabilité sera établie en fonction
du degré de zèle avec lequel chacun a suivi des ordres
manifestement illégaux.
En vertu de la jurisprudence de Nuremberg selon laquelle : "L'obéissance aveugle à des ordres injustes ou illégaux n'exonère pas les exécutants de leur responsabilité pénale personnelle."
Il
n'y a pas que les politiciens coupables
Il
conviendrait aussi d'incriminer certains membres du Comité scientifique véritables médecins de cour qui ont présenté des rapports falsifiés,
volontairement entravé des thérapies, menacé et sanctionné des
praticiens qui voulaient conserver leur liberté de prescription.
Enfin
il faudra s'intéresser aux conditions (primes ? avancement?)
dans lesquelles des journalistes dépourvus de toute formation
médicale ou scientifique, ont servilement amplifié la propagande
gouvernementale pour convaincre la population qu'il n'y avait pas
d'autre solution qu'une incarcération préventive sévèrement
contrôlée suivie d'atteintes graves à la liberté des personnes, dans l'attente de vaccins bricolés à la hâte. En fait des expérimentations thérapeutiques aux effets secondaires nocifs qu'on a tenté d'imposer à la population par le chantage et la menace, en violation des dispositions de l'article premier du code de Nuremberg :
Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel.
Cela veut dire que la personne concernée doit avoir la capacité légale de consentir ; qu’elle doit être placée en situation d’exercer un libre pouvoir de choix, sans intervention de quelque élément de force, de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes sournoises de contrainte ou de coercition ; et qu’elle doit avoir une connaissance et une compréhension suffisantes de ce que cela implique, de façon à lui permettre de prendre une décision éclairée.
Ce dernier point demande que, avant d’accepter une décision positive par le sujet d’expérience, il lui soit fait connaître : la nature, la durée, et le but de l’expérience ; les méthodes et moyens par lesquels elle sera conduite ; tous les désagréments et risques qui peuvent être raisonnablement envisagés ; et les conséquences pour sa santé ou sa personne, qui pourraient possiblement advenir du fait de sa participation à l’expérience.
Pour
certains, il y a une lueur d'espoir : Quelques
roquets des médias aux ordres ont déjà commencé à mordiller les
mollets de leurs maîtres. Et même certains pantins, sentant le vent tourner après la décapitation du professeur de Pantin en octobre 2020, se sont mis à changer radicalement de discours sur les bienfaits du dictateur et de ses alliés exotiques.
C'est mauvais signe pour le gouvernement.
Mais on comprend ces journaleux : au procès qui s'annonce pour
atteinte aux libertés fondamentales et crimes contre l'humanité,
ils préféreront être témoins à charge plutôt que complices. Des
collabos qui retournent leurs vestes, c'est peut-être le
commencement de la fin pour Macron le maton et ses sbires !
Il
serait temps ! Pour « Reporters sans frontières »
la France de 2020 se classe au 34ème rang mondial en matière de
liberté d'expression. Derrière des pays comme la Jamaïque, le
Costa Rica, l'Estonie, la Namibie, l'Uruguay, le Surinam, les
Samoa... Des états qui ne sont pas réputés pour être des
parangons de démocratie...
Attendons-nous
au prochain classement à être relégués vers la 50ème place ou
plus bas encore... Si les Français ne se réveillent pas rapidement !
C'est rarissime, certes, mais il m'arrive de reconnaître mes faiblesses et mes erreurs. Quand je désignais ("Sors d'ici Jean Moulin") la bande squattant le pouvoir comme n'étant que les "nouveaux collabos" de la nouvelle "souveraineté européenne" (c'est-à-dire la seule souveraineté qui vaille, celle du seul dieu: le fric) je trimballais encore quelques brins de naïveté. Je voyais le petit-Pétain-en-chef s'élancer vers Vichy, avec sa clique, sa claque et ses miliciens...alors qu'il était déjà dans la banlieue proche. Maréchal-nous-voilà et Laval (entre autres) peuvent être fiers de leur descendance...
RépondreSupprimerMéc-créant.
(Blog: "Immondialisation: peuples en solde!" )
Beaucoup de critiques regardent dans le rétroviseur : Les ligues, Pétain, Laval, l'OAS, JMLP... Macron a inventé un néo-fascisme à visage humain... Tant qu'on ne le contrarie pas trop !
RépondreSupprimerEt avec ça un nouveau système politique : la démoctature. Elections de pure forme + dictature.