mardi 12 mai 2020

4/ Manu un dictateur en culottes courtes

Interdit de séjour sur Facebook
et Twitter

Manu le dictateur immature en culottes courtes



Il n'a pas la stature virile et la moustache conquérante d'un Staline, d'un Saddam Hussein ou d'un Maduro. Et il n'a pas non plus une cour de groupies à sa dévotion. Il lui manque ce que l'imagerie populaire tient pour les attributs du chef. À première vue, ce freluquet semble banal. Fade. Transparent. Inexistant. Et en plus asservi aux maîtres du fascisme climatique. Cela ne l'en rend que plus dangereux.

Immature et capricieux

Sous ses airs benêts d'enfant-roi, se cache un pré-ado complexé qui n'a jamais résolu son œdipe. Et pour cause. Au plan psychologique il est resté bloqué entre deux étages. Dans un entresol entre l'enfance et l'âge adulte. Où des caprices puérils de gamin et le besoin de s'affirmer d'un éternel adolescent le poussent à tous les défis. Toutes les transgressions. Toutes les provocations et toutes les extravagances. Faute de pouvoir violer des femmes, il a violé la République.

C'est un être narcissique. Il a un besoin pathologique de plaire ou de dominer (qui sont les deux faces de la même pièce) pour s'affirmer... Tantôt arrogant, méprisant, odieux avec des remarques insupportables montrant à quel point il évolue dans un univers parallèle... Tantôt démagogue tentant de se mêler à la populace qu'il dédaigne, ou allant danser avec des jeunes gens dont il se méfie, parce que les uns et les autres sont indignes de Sa Grandeur.
S'il s'est entouré de personnages peu recommandables, mais costauds et déterminés c'est sans doute une résurgence de l'époque où, enfant chétif et craintif, il devait attendre des grands dadais qu'ils le défendent. On a presque tous connu un petit bourge souffre-douleur de la classe, devenu chef de bande en donnant de l'argent aux malabars de l'école et en faisant leurs devoirs.

On le dit intelligent. Son QI paraît correct mais ce n'est pas un génie. Et quand il prétend inscrire dans la constitution le prétendu réchauffement climatique, il est permis de douter de son bon sens. Pourquoi ne pas interdire les tremblements de terre, les cyclones et les éruptions volcaniques tant qu'il y est ?
Surtout, il est totalement dépourvu d'intelligence sociale

Manipulateur comme un psychopathe qui prépare minutieusement ses mauvais coups. Sournoisement en espérant que personne ne se doute de rien parce que le courage physique n'est pas dans sa nature. Les images de ses exfiltrations montrent un sacré pétochard !
Pris les mains dans le pot de confiture, il niera en trépignant, prétextant que le bocal est tombé tout seul et qu'il a voulu le rattraper. Parce qu'il prend les autres pour des imbéciles et possède un culot incommensurable. Trait avéré des psychopathes.

Prévisible et sans imagination

Pour le reste, il est prévisible comme un premier de la classe doté d'une bonne mémoire et d'un esprit de fayot. Les enseignant(e)s ont du l'adorer. Surtout une. Avec pour corollaire, l'incapacité de réfléchir par lui même, de discuter ce que ses maître lui ont inculqué, de se remettre en cause hors du prêt-à-penser, et de faire des choix au-delà d'un canevas pré-établi.
Le résultat de cette programmation est qu'il est convaincu d'avoir toujours raison, qu'il ne supporte pas la moindre critique tenue pour une offense personnelle, et s'entoure de ministres « amateurs » totalement incompétents, afin qu'aucun ne puisse paraître meilleur que lui dans son domaine d'expertise.

Son inaptitude à réagir a tempo, son incapacité à prendre les bonnes décisions en temps et en heure, son blocage imaginatif l'empêchant d'anticiper, on les a vus lors de la crise sanitaire... Où après une succession de décisions hasardeuses, contradictoires et aberrantes, quand il fut confronté à une réalité qu'il ne pouvait maîtriser, ce velléitaire ne trouva rien de mieux que d'enfermer tout le monde.
Avant de faire arrêter et emprisonner quiconque osait le critiquer publiquement. Comme ces confinés dans diverses villes de France qui affichaient des slogans désapprobateurs à leurs fenêtres. Ou ces personnes appelant sur le web à manifester lors du déconfinement, embarqués par sa milice et incarcérés sans autre forme de procès.

Je parle de « milice » car une police républicaine ne se comporterait pas de la sorte.  D'ailleurs ceux qui étaient envoyés "au contact" étaient judicieusement choisis : Débutants endoctrinés, laissés pour compte poussés à faire du zèle et anciens placardisés qui avaient perdu la main et trouvaient là une occasion de rebondir.
Les avantages procurés par leur infamie servirent à motiver les hésitants.

Il les avait testés entre 2018 et 2020, quand arrêter et incarcérer des gens sans jugement, perquisitionner sans commission rogatoire, écouter illégalement des avocats et tabasser des suspects voire de simples témoins gênants ne pouvait relever d'une légitime décision du maintien de l'ordre. 
Ou pire encore quand, lors des manifs des gilets jaunes, ce triste sire laissait éborgner et mutiler par ses sbires des centaines d'honnêtes citoyens qui demandaient juste à vivre un peu mieux... En clamant qu'il était à leur écoute ! Sans le moindre remords ni la moindre empathie. Des traits communs aux psychopathes et aux sociopathes.

Et que dire de ces bandes de voyous auteurs de violentes agressions filmées, bénéficiant d'une étonnante mansuétude ou d'une troublante cécité de la part des sbires de Macron... Et dont, pour la plupart des observateurs, il est clair qu'une telle impunité ne peut profiter qu'à des barbouzes appartenant à des officines de polices parallèles. Des fauteurs de troubles stipendiés qui n'apparaissent que dans les manifs politiques, jugées trop critiques envers le pouvoir, cassent tout pour discréditer les opposants, et disparaissent sous l'œil impavide de la milice officielle... 
Une technique de manipulation des foules passée dans l'histoire sous le générique incendie du reichstag.

Quand 2.200 prisonniers politiques (du jamais vu depuis les guerres coloniales !) ont goûté à la paille des cachots. Pour la plupart des braves gens sans antécédents, condamnés lors de procédures expéditives parce qu'ils s'étaient trouvés au mauvais endroit au mauvais moment.
Le conducator a-t-il personnellement donné les ordres ? Ou est-ce l'action de laquais trop zélés comme Castaner avant de recevoir son congé ? On ne le saura sans doute jamais. L'omerta les protège.
Après tout, rien ne prouve que Hitler a ordonné personnellement d'assassiner tous les Juifs. Il n'était même pas présent à la conférence de Wannsee où fut décidée et organisée la « solution finale »

L'avis d'un psychiatre

Le professeur Adriano Segatori, psychiatre réputé, écrit : « À l’âge de 15 ans, le jeune Emmanuel Macron a subi une agression sexuelle de la part de son professeur de français qui, à l’époque des faits, avait 39 ans.
Au lieu de la vision à l’eau de rose de cette union, je vois plutôt le fait que le développement d’Emmanuel Macron s'est bloqué prématurément en pleine adolescence à cause d’une opération de séduction à la fois psychique et physique. Ce qui s’est passé est la transgression du tabou d'inceste par procuration.

(...) Si cette union avait eu lieu dans un environnement prolétaire - cet environnement qu’Emmanuel Macron méprise profondément - il serait suivi aujourd’hui par les services sociaux tandis que Brigitte Trogneux aurait été en prison.
(…)
Depuis sa jeunesse, Macron nourrit une ambition hors-norme; il a besoin du regard et de l’admiration des autres pour compenser son complexe d’infériorité. Trois paradigmes définissent sa personnalité psychopathe : L’idée qu’il n’existe pas de limite... Un sentiment d’omnipotence dès l’enfance, encore plus présent à l’âge adulte... Et un narcissisme qu’il n’est pas interdit de définir comme malveillant...
(...)
Un psychopathe est un déviant qui est très bien organisé d’un point de vue social et culturel. (…) Par exemple, Macron a une fascination pour le superficiel, et à ses débuts en politique développait une capacité d’attraction hors-norme. Avec un malaise dans la confrontation que nous voyons dans ses crises d’hystérie, au moment où l’admiration pâlissante souligne les faiblesses de son identité.
Cette hystérie est caractérisée par son intérêt pour les mises en scène théâtrales qui ne manquent pas de rappeler, coïncidence troublante, son histoire personnelle avec son enseignante séductrice qui lui a appris le théâtre.

Lorsque Macron parle des pauvres ou qu’il insulte les prolétaires du Nord en les réduisant à des fumeurs ou à des alcooliques invétérés, lorsqu’il dénigre les femmes en les rabaissant au rang d’ignorantes, nous revenons dans le discours incontrôlé expliqué par le psychanalyste Jacques Lacan.
Macron ne voulait pas le dire mais son inconscient a parlé pour lui car il croit à ce qu’il dit et il ne peut s’empêcher de l’exprimer. Il se défend en modifiant le sens de ses déclarations mais sans jamais exprimer de remord car il ne ressent jamais de culpabilité.
Au point de vue psychiatrique, comme tous les psychopathes, Emmanuel Macron est un individu extrêmement dangereux.

N'ayant pas vu le dictateur à l'œuvre lors de son diagnostic, Segatori n'a pu y associer la pathologie de manipulateur pervers qui double souvent celle de psychopathe. Cette déviance sévit généralement en privé, dans les relations de couple où le dominant écrase le dominé en le dévaluant systématiquement. Attitude qu'il ne peut adopter avec Brigitte qui le contrôle psychologiquement du fait de la genèse et de l'originalité de leur relation... Il transpose donc ce schéma à l'échelle d'une nation, comportement typique d'un dictateur.
Manucescu crée la confusion par ordres et contrordres décousus, insinue le doute par des critiques injustifiées suivies d'humiliations à répétition, infiltre la crainte par des menaces tonitruantes et des punitions arbitraires, crée un climat oppressif avec son Rivotril, ses vaccins et sa milice, puis rend un peu d'espoir à ses victimes avant de relancer sa torture mentale. 
Les atteintes à la liberté :
On va laisser de côté ce qui pourrait relever de maladresses. Comme par exemple cette circulaire du 9 mai 2020 où le ministère de l'inéducation antinationale exige des enseignants qu'ils fassent taire les enfants contestant l'autorité de l’État, dénoncent leurs « propos inacceptables » et signalent leurs parents... Même si une fois ces vilenies exposées en place publique, les responsables ont minimisé leurs propos et expliqué qu'on les avait mal compris.
Plus inquiétante fut la  tentative de créer une webstapo par la loi Avia supposée combattre « la haine en ligne » Même si le Conseil  constitutionnel a retoqué 95% du texte considérant qu'il s'agissait d'une atteinte disproportionnée à la liberté d'expression, les néo-fascistes macroniens annoncent sans vergogne préparer une "autre loi dans le même esprit qui passera mieux" (sic)
Or la haine n'est pas un concept juridique quantifiable.
Ensuite, avec des interprétations, elle peut être facilement instrumentalisée à des fins politiciennes. Des adversaires politiques ne se détestent-ils jamais ?

Enfin ce concept à géométrie variable s'oppose à l'obligation de définir précisément dans la loi pénale les éléments constitutifs d'un délit pour que son auteur puisse être poursuivi et condamné. C'est un des éléments de contrôle sur lequel la chambre criminelle de la Cour de Cassation se montre vigilante.
Or les tribunaux et cours de la République auraient  été dessaisis de facto des délits d'opinion commis par voie numérique.

Ce sont les hébergeurs, dont l'appétence pour la censure est avérée, qui auraient été chargés d'éliminer dans les 24 heures sous peine de devoir payer de lourdes amendes (chiffrées en millions d'euros) tout contenu contesté.
Une violation des droits constitutionnels de la défense, qui aurait permis d'être condamné et banni par les commissaires politiques omnipotents que sont devenus Facebook, Google, Twitter, Youtube et Tutti Quanti.
L'arbitraire absolu sans acte d'accusation, sans procédure contradictoire ni possibilité d'appel face à des mercenaires étroitement liés au N.O.M

De plus, alors que la loi initiale ne visait que les plateformes ayant plusieurs millions de visiteurs par mois, les mesures finales incluaient n’importe quel fournisseur de contenu. Qu'il s'agisse d'une vitrine d'e-commerce comme Amazon, du forum d'un site de presse, d’une plateforme associative ou régionale, d’un petit hébergeur ou de tout élément local d’un réseau social centralisé.
Les ogres du Net déjà en situation de quasi-monopole pouvaient déléguer leur modération à des outils de censure automatisée et attendre que la concurrence dépourvue de tels moyens soit submergée par un tsunami de réclamations assorties de délais très courts.
Il serait temps que des chefs d'Etats, eux mêmes censurés par ces plateformes de soi-disant libre expression, comprennent qu'il est urgent de réguler l'emprise des géants du Net qui n'ont aucune légitimité démocratique et abusent de leur position dominante pour décider de façon partiale, tantôt stupide (bots) tantôt sournoise (modérateurs militants) tantôt cupide (intérêts liés) qui a tort et qui a raison, qui détient la vérité et qui ment, qui doit être mis en valeur et qui doit être banni.
S'en remettre à l'arbitraire des monstres du Web, renforcerait l'emprise de ces entités sur la société numérique, et  porterait gravement atteinte à la liberté de chacun.
Comme tous les grands Etats disposent d'une législation anti-trusts, qu'attendent  leurs dirigeants pour comprendre  que ces entreprises de manipulation de l'opinion vont finir par les étouffer s'ils ne les démantèlent pas tant qu'il est encore temps ?


Après l'annulation des dispositions de loi Avia, on revient à la censure d'avant. L'écrémage y est confié pour 90% à des algorithmes dits « intelligents », trop nuls pour discerner un discours de haine d'un propos qui la condamne,  le premier degré du persiflage ou le témoignage de l'invective... Alors pour éviter des réclamations et des polémiques, dès qu'un mot tabou apparaît, éventuellement associé à un autre, des robots stupides ont été programmés pour tout éliminer... Si les maîtres des machines, addicts au politiquement correct, n'interviennent pas directement.
Parmi les exemples les plus significatifs, le bannissement des Brigandes des réseaux dits sociaux, lesquels allergiques à la verve des chanteuses droitistes, tolèrent sans sourciller de la part des rappeurs, des diatribes islamistes ou anarchistes infiniment plus agressives et menaçantes !
Ou encore dans un passé récent, sur simple injonction policière, l'office central de lutte contre la cyber-criminalité (OCLCTIC) a fait retirer une caricature présentant Macron et ses acolytes dans des postures de Pinochet et de ses complices. Au prétexte administratif d'incitation au terrorisme et à la pédophilie !!
Avant la loi Avia, de juillet 2019 à avril 2020,  Google avait dénombré 612 demandes judiciaires, contre 3 893 demandes administratives de suppression d'articles ou de pages. Seules les premières sont publiques. Comme les cafards, les cenSSeurs préfèrent s'agiter dans l'ombre.

Exemple vécu d'une opinion que la censure de FaceBook a bloqué :
« Ces présentateurs de la télé qui, depuis belle lurette usurpent la carte de journaliste, sont tous des clones et des militants d'une pseudo-gauche anar-caviar. Profiteurs connivents d'un système imprécateur gorgé de moraline, où l'on se coopte et où on se sert mutuellement la soupe... Pour ma part, si par mégarde j'en laisse un(e) s'emparer de ma télé, je zappe immédiatement. Et je prends un antihistaminique. Car même à faible dose, ces gens-là me donnent de l'urticaire ! »
Je n'ai changé ni un mot ni une virgule, et je ne vois toujours pas où est le délit !

Le Ministère de la Vérité s'est mis en place sans que la plupart des Français apeurés,  résignés ou indifférents  y trouvent à  redire. 
Des crimes contre l'humanité :
Mais il y a plus grave que ces entorses à la démocratie et à la liberté d'expression. Si l'on s'en tient à la lettre du Code Pénal, Macron et ses sbires pourraient être accusés de crimes contre l'humanité selon les dispositions de l'art 212-1 - 2°, 5° et 11° du Code Pénal ainsi libellés :
« Constitue un crime contre l'humanité et est puni de la réclusion criminelle à perpétuité l'un des actes ci-après commis en exécution d'un plan concerté à l'encontre d'un groupe de population civile dans le cadre d'une attaque généralisée ou systématique :(.....)
2° L'extermination,
5° L'emprisonnement ou toute autre forme de privation grave de liberté physique en violation des dispositions fondamentales du droit international ;
11° Les actes inhumains de caractère causant intentionnellement de grandes souffrances ou des atteintes graves à l'intégrité physique ou psychique. »

Pourraient trouver également application les dispositions de l'art 211-1 punissant de la réclusion criminelle à perpétuité « tout plan concerté tendant à la destruction totale ou partielle d'un groupe déterminé à partir de tout critère arbitraire et de commettre ou faire commettre, à l'encontre de membres de ce groupe, l'un des actes suivants : atteinte volontaire à la vie (.....) »

Les faits vus au travers du Droit :

1 / Sur le chef d'accusation du 212 – 1 11° : 11°, alors que la menace de pandémie était connue dès le mois de décembre 2019, un arrêté du 13 janvier 2020 a déclaré « substance vénéneuse » l'hydroxychloroquine, une molécule utilisée depuis 80 ans, tombée dans le domaine public donc bon marché, et dont les effets anti-viraux étaient connus.
Par la suite, les médias aux ordres clamèrent qu'elle serait inefficace et même dangereuse. Dans ce cas, pourquoi avoir attendu tout ce temps pour l'interdire en catastrophe ?

Puis est venue une nouvelle avanie cynique : Par décret du 25 mars 2020, le gouvernement a limité l’usage de ce remède aux cas désespérés afin de pouvoir en dénoncer l’inefficacité. Surtout quand on sait que prescrire de l'hydroxychloroquine à un moribond sans le combiner à l'azylthromycine revient à traiter un cancéreux avec de la tisane de queues de cerise...
Le tout assorti d'une campagne médiatique hystérique de dénigrement des médecins qui proposaient cette thérapie. Menacés par ailleurs des foudres de l'administration s'ils revendiquaient le droit de choisir librement leur prescription, conformément au code de déontologie. Même Pétain et Laval lorsqu'ils ont créé l'Ordre n'avaient pas osé aller aussi loin !

Aujourd'hui il est permis de s'étonner de la célérité avec laquelle l'ANSM a déclaré l'arrêt des tests sur le nouvel usage de la chloroquine quand généralement ce genre d'étude prend un an et plus... L'ANSM impliquée dans les scandales du Médiator, de la Depakine et du Levothyrox, et traduite en justice pour ses erreurs.

Entre les deux textes cités, les reîtres ont fait détruire délibérément des centaines de millions de masques protecteurs en les prétendant périmés ou inadaptés, ce qui était faux pour 90% d'entre eux, et ils ont bloqué dans les procédures dilatoires des rouages administratifs les budgets qui auraient permis l'achat de tests.
On peut y ajouter l'impossibilité matérielle faite à des millions de personnes de se soigner pour des maladies chroniques, ou des affections autres que celles résultant du covid, du fait de la fermeture arbitraire des cabinets médicaux et de l'interdiction faite aux patients de se déplacer normalement.

Une inconséquence criminelle peut être lue à travers la chronologie des faits et leur réitération malgré les nombreuses réserves et mises en garde provenant du corps médical en général, et des virologues et épidémiologistes en particulier. Lesquels n'ont pas été entendus afin de ne pas nuire aux intérêts d'entreprises pharmaceutiques dont les dirigeants, proches du gouvernement, devraient répondre de leur côté du chef de corruption active, de conflits d’intérêts et de complicité d'homicides.

2/ En ce qui concerne la définition du 2° des crimes contre l’humanité, le décret du 28 mars 2020 prescrivant, facilitant et incitant à l'usage de Rivotril afin d'achever les personnes les plus âgées répond au qualificatif juridique d' « extermination », tuerie de masse délibérément organisée selon des critères discriminatifs précis : l'âge en l'occurrence.
3/ Pour ce qui relève du 5° des crimes contre l'humanité, peuvent être considérées comme constitutives d'atteintes graves et répétées aux droits civils des citoyens : L'assignation à domicile arbitraire de toute une population, sans condamnation préalable des personnes pour quelque délit que ce soit, instaurant une présomption de culpabilité généralisée s'appliquant de façon aveugle à chacun(e) dans un climat de méfiance, de mal être et de terreur entretenu par des harcèlements systématiques opérés par des instruments de la répression trop zélés. 

Le tout encadré par des sanctions pénales abusives décidées pour appuyer ces mesures autoritaires sans que les représentants élus du peuple en aient débattu et les aient votées. Même si ces diktats furent validés un mois et demi après la  fin du confinement, ce rattrapage a piétiné le principe constitutionnel de non-rétroactivité.
Mais chacun sait désormais avec les affaires Fillon, Kohler et les barbouzes autour des avocats de Sarkozy, que Macron et ses sbires s'assoient sans vergogne sur le Droit et la procédure.
Que le pouvoir change pour de bon, et l'on aura sûrement une autre appréciation de ces textes et des actions qui leur furent liées !


4/ En ce qui concerne le 212 – 1 – 11°, ne pas oublier les GJ : on pourra prendre en considération les ordres donnés pour terroriser et mutiler des manifestants pacifiques en utilisant, pendant toute une année, chaque semaine de façon délibérée une panoplie d'armes létales telles que des grenades de combat rapproché et des balles renforcées à projection ultra rapide dites de dispersion, spécialement calibrées pour faire le plus de dégâts possible, et dont on savait qu'elles provoquaient des énucléations et des amputations à répétition.
Auxquelles il convient d'ajouter les jet de gaz corrosifs et asphyxiants en plein visage, provoquant des cécités et des défigurations. Avec la triple circonstance aggravante de préméditation, de réitération systématique du crime en toute connaissance de cause, et d'association de malfaiteurs.

Ces exactions ont occasionné des dommages physiques et psychiques à plusieurs milliers de personnes, et parmi elles des centaines de blessés très graves qui devront obtenir réparation. En attestent l'abondante documentation vidéo, les nombreuses déclarations des soignants ainsi que les témoignages de quelques policiers qui ont préféré se porter malades ou prendre des congés plutôt que de se rendre complices du dictateur.

Les autres gradés et subalternes de la force publique auteurs de ces agressions physiques devront être poursuivis du chef de coups et blessures volontaires, tentatives d'homicides, tortures et traitements dégradants. Leur culpabilité sera établie en fonction du degré de zèle avec lequel chacun a suivi des ordres manifestement illégaux.
En vertu de la jurisprudence de Nuremberg selon laquelle : "L'obéissance aveugle à des ordres injustes ou illégaux n'exonère pas les exécutants de leur responsabilité pénale personnelle."

Il n'y a pas que les politiciens coupables

Il conviendrait aussi d'incriminer certains membres du Comité scientifique véritables médecins de cour qui ont présenté des rapports falsifiés, volontairement entravé des thérapies, menacé et sanctionné des praticiens qui voulaient conserver leur liberté de prescription. 
Enfin il faudra s'intéresser aux conditions (primes ? avancement?) dans lesquelles des journalistes dépourvus de toute formation médicale ou scientifique, ont servilement amplifié la propagande gouvernementale pour convaincre la population qu'il n'y avait pas d'autre solution qu'une incarcération préventive  sévèrement contrôlée suivie d'atteintes graves à la liberté des personnes, dans l'attente de vaccins bricolés à la hâte. En fait des expérimentations thérapeutiques aux effets secondaires nocifs qu'on a tenté d'imposer à la population par le chantage et la menace, en violation des dispositions de l'article premier du code de Nuremberg :

Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel.
Cela veut dire que la personne concernée doit avoir la capacité légale de consentir ; qu’elle doit être placée en situation d’exercer un libre pouvoir de choix, sans intervention de quelque élément de force, de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes sournoises de contrainte ou de coercition ; et qu’elle doit avoir une connaissance et une compréhension suffisantes de ce que cela implique, de façon à lui permettre de prendre une décision éclairée.
Ce dernier point demande que, avant d’accepter une décision positive par le sujet d’expérience, il lui soit fait connaître : la nature, la durée, et le but de l’expérience ; les méthodes et moyens par lesquels elle sera conduite ; tous les désagréments et risques qui peuvent être raisonnablement envisagés ; et les conséquences pour sa santé ou sa personne, qui pourraient possiblement advenir du fait de sa participation à l’expérience.

Pour certains, il y a une lueur d'espoir : Quelques roquets des médias aux ordres ont déjà commencé à mordiller les mollets de leurs maîtres. Et même certains pantins, sentant le vent tourner après la décapitation du professeur de Pantin en octobre 2020, se sont mis à changer radicalement de discours sur les bienfaits du dictateur et de ses alliés exotiques.
C'est mauvais signe pour le gouvernement.
Mais on comprend ces journaleux : au procès qui s'annonce pour atteinte aux libertés fondamentales et crimes contre l'humanité, ils préféreront être témoins à charge plutôt que complices. Des collabos qui retournent leurs vestes, c'est peut-être le commencement de la fin pour Macron le maton et ses sbires !
Il serait temps ! Pour « Reporters sans frontières » la France de 2020 se classe au 34ème rang mondial en matière de liberté d'expression. Derrière des pays comme la Jamaïque, le Costa Rica, l'Estonie, la Namibie, l'Uruguay, le Surinam, les Samoa... Des états qui ne sont pas réputés pour être des parangons de démocratie...
Attendons-nous au prochain classement à être relégués vers la 50ème place ou plus bas encore... Si les Français ne se réveillent pas rapidement !



Grande gueule et petits bras, le macronosaurus rex









2 commentaires:

  1. C'est rarissime, certes, mais il m'arrive de reconnaître mes faiblesses et mes erreurs. Quand je désignais ("Sors d'ici Jean Moulin") la bande squattant le pouvoir comme n'étant que les "nouveaux collabos" de la nouvelle "souveraineté européenne" (c'est-à-dire la seule souveraineté qui vaille, celle du seul dieu: le fric) je trimballais encore quelques brins de naïveté. Je voyais le petit-Pétain-en-chef s'élancer vers Vichy, avec sa clique, sa claque et ses miliciens...alors qu'il était déjà dans la banlieue proche. Maréchal-nous-voilà et Laval (entre autres) peuvent être fiers de leur descendance...
    Méc-créant.
    (Blog: "Immondialisation: peuples en solde!" )

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  2. Beaucoup de critiques regardent dans le rétroviseur : Les ligues, Pétain, Laval, l'OAS, JMLP... Macron a inventé un néo-fascisme à visage humain... Tant qu'on ne le contrarie pas trop !
    Et avec ça un nouveau système politique : la démoctature. Elections de pure forme + dictature.

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Chez Macron, tout est bidon !

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