samedi 2 mai 2020

3/ Le viol des foules : Ausweis et milice comme en 40



Interdit de séjour sur Facebook
et Twitter 

Le viol des foules, ausweis, milices et cenSSures





« The Lancet » était autrefois une revue médicale de référence. Jusqu'à ce que des preuves de partialité ternissent son image dans l'évaluation de l'hydroxychloroquine. Quand plus de 50 pays ont publié des comptes rendus médicaux prouvant que ce médicament a épargné des centaines de milliers de vies et aurait pu en sauver beaucoup en France sans les indignes polémiques entretenues autour du professeur Didier Raoult, inventeur d'un traitement peu onéreux, afin de ne pas écorner les profits de Big Pharma.

Néanmoins, bien avant ces batailles d'experts, la revue avait publié les travaux de chercheurs en neurosciences du « King's College » portant sur 24 études de confinement lors de pandémies récentes : Sras, ebola, grippes...
Leurs conclusions : les affections physiques et psychiques liées au confinement, dans l'immédiat et par la suite, peuvent être plus préjudiciables que les effets d'un virus.

On peut alors se poser la question : la panique hystérique entretenue par les médias justifiant l'enfermement policier de tout un pays, puis le port obligatoire d'un masque inefficace pour protéger d'un virus que les médecins savent combattre, des couvre-feux aux horaires irréalistes et des documents ubuesques associés à des amendes arbitraires assénées sans discernement par des flics obtus, ne trahiraient-ils pas l'intention d'instaurer une dictature à la chinoise ?
Le rêve fou d'un psychopathe qui n'hésitait pas à ordonner qu'on éborgne, mutile et gaze des manifestants, tout en prétendant être à leur écoute !

On peut ajouter les brimades, harcèlements et menaces pour contraindre tout le monde à une vaccination "facultative". Inutile puisqu'elle ne protège pas des divers variants du virus. Et dangereuse si l'on tient compte des nombreux effets secondaires dommageables voire mortels. L'info circule malgré les actions forcenées de la cenSSure pour qu'on n'en parle pas.
A cela s'ajoute le soupçon d'agir délibérément au détriment de la santé des Français pour optimiser les profits de ses sponsors du NWO et tout particulièrement de Big Pharma, entité avec laquelle il entretient des rapports d'intérêt depuis son épisode Rothschild.

Des remèdes improvisés pire que le mal 

56% des personnes interrogées par les experts du King's College ont mentionné des états de nervosité, agressivité, angoisses, provoquant un mal être dans les relations intimes et une destruction des couples.
Puis lorsque la séquestration dépasse les 10 jours, on observe les premiers symptômes du stress post-traumatique : troubles émotionnels, dépression cyclothymique, états paranoïdes qui dureront jusqu'à 3 ans au moins après la remise en liberté... S'ajoutent fréquemment, quels que soient l'âge ou le statut social, des abus de médicaments et des addictions fortes à l'alcool ou à des opiacées qui perdureront jusqu'à la fin de leurs jours. Sans parler des dépressions suicidaires ou des pulsions meurtrières.

Cela peut se traduire aussi par le « syndrome de Diogène » une accumulation compulsive d'objets hétéroclites, parce que le sujet reclus ayant perdu ses repères, privé de contacts avec le monde extérieur et confronté à une difficulté d'approvisionnement momentanée ou imaginaire craint de manquer de tout et anticipe.

Les personnes les plus touchées par le stress post-traumatique sont les soignants qui mettront des années à s'en remettre, et les enfants qui souffriront de troubles du comportement et de retards scolaires irrattrapables. Sur un substrat psychologique fragilisé, où des maladies psychosomatiques viendront se greffer. Des vies  gâchées du simple fait du prince.

On peut ajouter à cette suite de malfaisances, les masques obligatoires qui ne protègent en rien du virus (c'est écrit sur la pochette !) mais contribuent à entretenir avec les sécrétions du nez, de la bouche et de la peau un véritable bouillon de culture, propice à l'éclosion de diverses pathologies, pulmonaires et cutanées, s'ajoutant à un  inconfort manifeste.
Mais de cela, Macron le maton n'en a cure, lui qui ne supporte pas le masque !

Cette muselière n'a pas pour but de protéger la santé des Français mais de les habituer à obéir aux ordres et contrordres les plus arbitraires, sans réfléchir ni réagir, en amplifiant leur instinct grégaire par des vagues de panique entretenues par les médias.

« Harvard Medical School » et pathologies du confinement

Conséquences de stress répétés, elles provoquent des maladies de la peau, des troubles gastro-intestinaux, des rectocolites hémorragiques, des ulcères gastriques, des pertes du sommeil, de l'asthme et des troubles sexuels. Avec la prise d'antidépresseurs et d’anxiolytiques qui conduisent généralement à un état de dépendance à vie.

La Harvard Medical school a ajouté au confinement le facteur aggravant de la solitude. Le risque devient 29% plus élevé d'avoir une maladie coronarienne et 32% plus élevé d'avoir un A.V.C pour un sujet isolé.
En outre les capacités cognitives diminuent en quelques mois de 20% chez les personnes confinées et isolées, avec chez 59% d'entre elles l'incapacité d'effectuer des tâches de la vie quotidienne et chez 45% la probabilité de mourir rapidement. 
Contrairement à ce que raconte la propagande gouvernementale, ce n'est pas le covid qui altère les capacités cognitives, c'est l'inquiétude permanente entretenue par les médias et l'enfermement à répétition.

Cette séquestration arbitraire peut aussi créer des TOC (troubles obsessionnels du comportement). À force de marteler qu'il  faut se méfier  des virus qui nous guettent comme le loup convoite le petit chaperon rouge, et qu’on doit se laver les mains 50 fois par jour, on observe que ces consignes laissent des traces indélébiles chez les personnalités les plus influençables.

D’autres développeront une agoraphobie et auront du mal à sortir de chez eux et à renouer des relations sociales. L'étude menée après l’épidémie de Sras de 2003 sur un millier de personnes montre qu’un quart d’entre elles évitait les endroits fréquentés 3 ans après la fin de la pandémie.
Alors qui peut croire les dénégations des satrapes et de leurs médicastres lorsqu'ils réfutent les effets désastreux de leurs décisions arbitraires, confiner, déconfiner, reconfiner, faire harceler par leurs milices, induisant déséquilibres psychologiques, fatigue, insécurité et stress ?

Un flux d'informations contradictoires pour désorienter

En utilisant le rouleau compresseur de decodex, on met en vert (= en toute confiance) des propagandistes sans la moindre formation médicale, qualifiant de « fake news » la communication initiale du professeur Raoult, et bloquant l’accès à sa page Facebook avec l’appui du ministère de la santé, avant que les politiciens ne reculent sous la pression trop voyante à la fois des praticiens et des médias alternatifs qu’on n’a pas encore réussi à museler complètement.

Toujours en vert : Le décret déclarant empoisonnée la chloroquine, une molécule utilisée depuis 80 ans, puis en limitant son usage aux cas désespérés afin de pouvoir en dénoncer l’inefficacité. Une voie dans  laquelle s'engouffrent allégrement tous les médias aux ordres... Tandis que des politiciens et des journalistes en vue se sont discrètement soignés avec ce produit tant décrié !

Et pourquoi s'arrêter en si bon chemin, verdissons les membres du Conseil scientifique férocement opposés au professeur Raoult, jurant qu’ils n’ont aucune relation d’intérêt avec les laboratoires qui attendent de proposer des remèdes coûteux et un vaccin hypothétique… Quand on les trouvera… Si on les trouve.
Etrange conseil scientifique dont près de la moitié des membres nommé par des politiciens ne sont pas médecins, et dont certains entretiennent des relations d'intérêt avec Big Pharma.

Vert encore : Le matraquage continu pour convaincre les gens qu’il n’y avait pas d’autre solution que ces confinements qui causent de graves troubles psychiques et psychosomatiques... Et qu’on rend service aux vieillards en les finissant au Rivotril qui leur épargne les souffrances de l'agonie. Le 49.3 pour dépouiller les retraités, c’était bon pour les politicards de l’ancien monde.


L’État et ses satellites pensent pour vous !


Pauvres internautes perdus sans un guide, le moteur de recherche du « Monde » vous invite à signaler et faire analyser tout site suspect. Leur base de données répertorie tous les sites se livrant à la diffusion virale de fausses informations et se fait un devoir d’« aider les internautes à se repérer dans la jungle des sites producteurs ou relayeurs d’informations fausses ou douteuses » (sic)

À l’aune de quels critères ? Ceux du « Monde » naturellement. Journal de bobos écolo-parigots jusqu’à la caricature. Vigoureusement mondialistes, farouchement européistes et férocement immigrationnistes. Et défenseurs inconditionnels du confinement pour tous.

Comme si cette emprise ne suffisait pas, le gouvernement recense et encense depuis avril 2020 les journaux vassaux qui approuvent servilement les décisions aberrantes d'un président velléitaire et de ministres qui pédalent dans la semoule, complètement dépassés par la crise sanitaire.


Les plus assujettis à decodex sont ceux qui délivrent une information forcément « de qualité » Parmi les heureux élus, adoubés par Macron le maton : « le Monde », « Libé », « 20 Minute »s, « l’AFP » et « France Info ».

Mais pas « le Figaro », « les Echos », « Mediapart », « l’Humanité » ni les quotidiens régionaux. En attendant de les censurer ouvertement, le gouvernement invente la certification. Comme pour les fromages AOC.
L'osmose entre le pouvoir et ses propagandistes est assez forte pour que le site dédié à la communication du gouvernement reprenne à son compte les articles qu'il trouve à son goût. Cette grossière manœuvre renforce la défiance envers les gouvernants et le rejet des médias main stream par les personnes éduquées, encore capables de réfléchir.

Les confinements tuent plus que le virus !

Recrudescence de suicides, de maltraitances de conjoints et d'enfants, d'homicides familiaux et d'incestes, de crimes de voisinage provoqués par l'exaspération, on s'y attendait. Les médecins avaient tiré la sonnette d'alarme en expliquant aux politiques sourds et aveugles quels dégâts ne manqueraient pas de causer un retour à cette pratique médiévale et inefficace de l'enfermement à domicile de toute une population.

Alors que le premier confinement s'approchait de son terme, des psychiatres hospitaliers qui s'attendaient à une vague d'admissions de patients fragiles, privés de leurs traitements, ont annoncé une recrudescence inédite de personnes sans antécédents psychiatriques atteintes de bouffées délirantes aiguës. Parfois accentuées par une consommation inhabituelle de stupéfiants ou d'alcool pour venir à bout de l'ennui, du désœuvrement et de la désespérance.

D'aucuns, parce qu'ils n'ont pas été touchés par le virus, prétendent expliquer ce « miracle » par leur régime alimentaire, leurs prières, ou la pratique d'une gymnastique mentale appropriée pour booster leurs défenses naturelles. Convaincus d'avoir trouvé la solution, ils prétendent la faire partager au monde entier, en commençant par les médecins... Quitte à manifester des crises de violence lorsque leur prosélytisme n'est pas pris au sérieux.

Les psychiatres appellent ça « un coup de tonnerre dans un ciel bleu ». Le confinement a joué un effet contenant. Mais pendant ce temps, la pression n'a cessé de monter dans la cocotte-minute. Des gens qui n'avaient manifesté aucun trouble mental jusqu'alors, décompensent tout d'un coup. Quand ils s'aperçoivent qu'on ne les écoute pas, certains développent des pathologiques paranoïdes avec interprétation aberrante des propos d'autrui, hallucinations visuelles et auditives, et conviction qu'ils sont victimes d'un « complot des blouses blanches ».

Des personnes un peu fragiles, isolées et aux faibles revenus, perdent leurs repères et sombrent dans une profonde déprime quand la milice les rackette de 135 €  au prétexte que, du jour au lendemain, ils sont devenus  des délinquants parce qu'ils vont acheter un pain, sortir leur chien ou faire un tour en vélo.

D'autres s'enfoncent dans une schizophrénie incurable à laquelle, sans doute, ils offraient un terrain favorable, mais qui ne se serait probablement pas déclarée sans cette assignation à domicile. Perçue comme d'autant plus injuste que des flics trop zélés les traquent comme des bêtes nuisibles. Agissant comme s'ils touchaient un pourcentage sur les amendes infligées aux allergiques à la muselière ou aux étourdis qui ont oublié le laisser-passer intérieur, copié sur les documents du IIIème Reich ou de l'URSS.

Un autre syndrome, semblable à celui de Gilles de la Tourette mais non héréditaire, à moins de s'aventurer dans le domaine de l'épigénétique, peut s'installer en même temps, ou à la place des troubles sus indiqués. Le sujet développe toutes sortes de tics faciaux et gestuels, rabâche des propos obscurs et incohérents (écholalie) et entrecoupe des stases de dépression profondes par des phases de coprolalie ou répétition de propos orduriers ou scatologiques.

Les psychiatres soulignent le caractère aigu, imprévisible et violent de ces crises. « En très peu de temps, dit l'un d'eux, on a eu une immolation par le feu, deux suicides en sautant du balcon, plusieurs tentatives d'égorgement, des défenestrations en série et un jeune homme barricadé dans sa salle de bains, convaincu que la mafia avait mis un contrat sur sa tête. »

Par rapport à la même période en 2019, le nombre d'admissions a quasiment doublé, et celles-ci concernent des patients de plus en plus jeunes. Des  praticiens envisagent la possibilité que ces troubles provoqués par le confinement produisent des séquelles à vie, quand les prisonniers sans crime ni sans jugement recouvreront leur liberté.
Mais de cela Macron le maton n'en a cure.

Les effets collatéraux pervers

Les énarques devaient ignorer (ou trop bien savoir ?) qu'en 2018, 35% des Français (soit un tiers) représentant plus de 20 millions de patients, étaient atteints d’une maladie chronique, avec pour 13 millions d'entre eux des contraintes dans la vie courante.

La fermeture obligatoire de la plupart des cabinets médicaux et les limitations apportées aux déplacements des personnes ont sérieusement aggravé la situation des malades souffrant de maladies chroniques en retardant leur accès à des soins indispensables. Ainsi a-t-on mesuré une baisse de l’ordre de 40% de fréquentation des urgences cardiaques dans 9 centres publics à Bordeaux, Grenoble, Lille, Lyon, Montpellier, Nîmes, Paris, et Toulouse. Et en région parisienne 2 fois plus de morts par arrêt cardiaque pendant le premier confinement !
Une réalité qui n'a pas dissuadé les gouvernants de remettre ça en toute connaissance de cause.

Une autre baisse d'environ 60% a été enregistrée dans les séances de radiothérapie destinées aux cancéreux. Autant de retards de diagnostic et de traitement, synonymes de pertes de chances pour des patients auxquels l'administration, odieuse comme à son habitude, a répondu qu'ils n'avaient qu'à affréter des taxis-ambulances ! Sans oublier l'ausweis bien évidemment.
Les dentistes étant aussi fermés sur ordre supérieur, ceux qui souffrent de rages de dents ont dû prendre leur mal en patience avec un antalgique en espérant qu'un phlegmon ne les achèverait pas.

Quant aux diabétiques, surtout ceux de type 2 dont les défenses immunitaires sont affaiblies, un décret les invite à mesurer leur glycémie et à prendre contact par téléphone avec leur médecin qui fera un diagnostic et prescrira une ordonnance sans voir le patient, ce qui est contraire aux plus élémentaires principes de déontologie, mais leur donne une chance de s'en sortir.

Pour les autres : les gens qui meurent d'un A.V.C, d'un infarctus, d'une appendicite aiguë, d'un étouffement, d'un choc anaphylactique, d'un accident domestique ou tout simplement de la grippe saisonnière... On les comptera avec les morts du covidus macronibus pour justifier l'enfermement, le racket quotidien des milices, et l'insistance crapuleuse à convaincre les gens, par divers chantages, d'accepter les vaccins expérimentaux et autres thérapies géniques.
Les statisticiens stipendiés, les médias serviles et les réseaux asociaux sont là pour duper le peuple et font bien leur travail...
Macron le maton saura récompenser les moutons.
Et ce sera autant de gagné, avec le Rivotril, pour remettre à flot les comptes de la sécurité sociale et des retraites. Les morts ne plomberont plus les comptes de ces organismes gérés en dépit du bon sens.


Dans le même temps, des multinationales inféodées à la Haute Finance cosmopolite pourront acquérir à vil prix les actifs encore exploitables des entreprises poussées à la faillite  par l'arbitraire de l'Etat les contraignant à l'inactivité forcée. Retours d'ascenseur de politiciens aux banksters de la Haute Finance et des médias qui les ont si bien aidés dans leurs carrières... 
Si ce corona-virus n'avait pas existé, il aurait fallu l'inventer !

Vers la dictature à marche forcée

C'est fou comme un passé récent vient inspirer le dictateur et ses séides : Après les ausweis, les couvre-feux, les perquisitions illégales et les arrestations arbitraires, des élus et des fonctionnaires LREM invitent à la délation civique (sic)
Les loufiats médiatiques du NWO ont beau clamer d'une voix unanime qu'il n'y a aucun complot planétaire pour parvenir à ces objectifs...
Seuls les imbéciles les croient !
Les confinements, ausweis, muselières, couvre-feux, rackets et brimades du peuple par les miliciens, passe nazitaire, mise à l'index du professeur Raoult, licenciement du prof Perronne, embastillage sans procès du prof Fourtillan et projets de vaccination planétaire seraient décidés pour le seul bien de l'humanité ?

Car le psychopathe est bien décidé à imposer ses vaccins éclair, miraculeusement trouvés par ses sponsors de Big Pharma, alors qu'il s'agit en fait d'une nouvelle forme de thérapie génique pour laquelle on cherche des cobayes humains, à contaminer par la ruse ou la contrainte et la menace de leur interdire les lieux et transports publics, en cachant soigneusement les effet secondaires souvent nocifs, parfois mortels.
Ceci en violation complète des dispositions du code de Nuremberg adopté après les procès qui conduisirent les nazis à la potence.

Alors bien sûr, on essaie de rassurer les gens en prétendant que ce ne sera  pas obligatoire. Comme Buzyn disait que le confinement était inutile...
Ou comme le comité médical du gouvernement affirmait que les muselières ne servaient à rien et de toute façon ne seraient jamais obligatoires... 
Le psychopathe et ses sbires sont coutumiers des affirmations - réfutations, ordres et contrordres, dialogue et menaces, pour mieux désorienter la population !
C'est plus facile de manipuler des gens effrayés qui ne savent plus à quel saint se vouer!

D'ailleurs, quiconque tente de débattre avec des arguments scientifiques et des personnalités qualifiées (médecins, universitaires, chercheurs,  prix Nobel) recueille le même mépris que lorsqu'on essaie de discuter des axiomes réchauffistes.
Et s'il insiste, la cenSSure frappe à tours de bras : Déréférencement de sites, fermeture de comptes, bannissement des réseaux sociaux, effacement des vidéos comme celle du film Hold_Up.

Le professeur Perronne, expert en maladies infectieuses émergentes, et ancien président de la commission spécialisée en Maladies transmissibles du Haut Conseil de la Santé Publique, a été viré du jour où il a dénoncé les pseudo-vaccins, thérapies géniques expérimentales imposées par la ruse, le mensonge et la menace en violation des dispositions du Code de Nuremberg.
Ainsi que la collusion des politiques avec Big Pharma, plus motivés les uns comme les autres à s'enrichir qu'à œuvrer  pour la santé des Français.
La vidéo dans laquelle cet éminent professeur de médecine développait ses arguments sur les risques inconsidérés des vaccins, a été rapidement cenSSurée par youtube, tout comme sur facebook et twitter. Mais il n'y a que des complotistes paranos pour voir la pieuvre du Nouvel Ordre Mondial s'agiter derrière ces manigances.











 









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