samedi 2 mai 2020

1/ La censure : Ministère Mondial de la Vérité



Interdit de séjour sur Facebook
et Twitter

La cenSSure : Ministère mondial de la vérité




George Orwell l'avait imaginé. "Le Monde" l'a réalisé. Macron l'a perfectionné avec l'aide de ses sponsors, les banksters mondialistes. Lesquels ont au moins le mérite de la  franchise :

Je ferai de la formation d’un gouvernement mondial unique mon héritage.
George Soros le 8 août 2018

Une pandémie permettrait d’instaurer un véritable gouvernement mondial.

Jacques Attali le 6 mai 2019.


Des médias asociaux complices du pouvoir

La collusion de l’État français avec les géants du web, jusqu’alors secrète, a été officialisée en novembre 2018 quand le conducator a annoncé la création d’un groupe mixte moitié cadres de Facebook, moitié politiciens et hauts fonctionnaires français.
Pour se donner une légitimité, ce groupe était supposé traquer les contenus racistes, antisémites, homophobes et sexistes. Curieusement, les djihadistes ne faisaient pas partie des « méchants »… Quinze mois plus tard, ce sont les thérapies du professeur Raoult qui furent clouées au pilori par ces prescripteurs de « bonnes pensées ».

Pour ne pas être en reste, les divers réseaux sociaux et plateformes de diffusion ne se contentent plus d’escamoter des dizaines de milliers de posts ou de vidéos non conformes aux intérêts de la nomenklatura mondialiste… Ils éliminent des contributions dépourvues d'insultes, de menaces ou de délits d'opinion, simplement parce qu'elles argumentent contre les diktats de leurs maîtres. Les gens posés qui raisonnent doivent paraître plus dangereux à leurs yeux que les énergumènes et les imprécateurs.

Conséquences de la politique d'échanges mutuels de services, scellés par des accords scélérats, Macronescu le tyran a placé ses pions dans les réseaux dits sociaux : Alice Garza permanente de LREM fut engagée par Twitter comme "public policy manager" en 2019, avant d'en devenir devenir chief manager cenSSeur en 2021 pour la modeste paye de 14.000€/mois.
Son plus haut fait d'armes : La fermeture début mars 2022 de tous les comptes soutenant Eric Zemmour ou Marine Le Pen. "Par erreur" dira-t-elle en grinçant des dents, après le tollé que cela avait suscité.
Pour ne pas être en reste chez Facebook, un certain Laurent Solly transfuge de LR à LREM est devenu directeur général de Facebook France, après avoir été administrateur de sa politique de censure. Grâce à ses bons offices, interdit de douter de l'efficacité et de l'innocuité des expérimentations thérapeutiques à base d'ARN messager, interdit de contester le prétendu réchauffement climatique, interdit de remettre en question le "génie" du dictateur ou de brocarder sa femme à barbe.

Voici un échantillon de la définition de "la haine" selon les cenSSeurs islamo-gauchistes de Twitter pour qui,  il est absolument interdit de critiquer la maltraitance que les mahométans infligent à leurs compagnes ! Surtout depuis que la Ligue Islamique Mondiale a pris une participation importante dans le capital.
Chez les nouveaux Français, devenus maîtres du pays, de ses institutions et de sa justice, déprécier, insulter, tabasser et mépriser les femmes est un comportement tout à fait normal. Et il est intolérable que de vulgaires dhimmis s'insurgent !
Dans une discussion où des femmes européennes venaient témoigner de leurs déboires, voici le texte qui m'a valu les foudres de la muttawa :
"Il y a quelques années encore, je plaignais les malheureuses qui cédaient au fantasme du prince des mille et une nuits. Aujourd'hui que chacun sait combien ces individus sont violents, misogynes et fanatiques, je dis : Tant pis pour elles !"



Mais il y a plus vicieux encore. En utilisant les identifiants partagés avec diverses plateformes pour lutter contre le spam et les inscrits fantômes, FB se sent désormais assez fort pour caviarder d'autres médias comme Boulevard Voltaire dont la liberté de ton ne doit pas faire oublier qu'il est sous la coupe d'un réseau qui s'est arrogé un droit de vie et de mort sur les commentaires de ses lecteurs. Puisqu'il fallait passer par FB pour participer aux commentaires des lecteurs !

Seule solution pour contourner la cenSSure : fermer son compte FB mais ils ne sont pas très réactifs, car leurs tarifs de pub dépendent du nombre d'inscrits, y compris ceux dits "inactifs", comprendre bloqués ou démissionnaires mais pas radiés.

Et ces entités se savent à ce point intouchables qu'elles vont jusqu'à censurer des chefs d’États en exercice ! Trump et Bolsonaro en ont fait l'expérience pour avoir déplu aux banksters et oligarques du Nouvel Ordre Mondial.

On peut supposer que l’inertie des grandes puissances, USA et UE entre autres, qui disposent des outils juridiques anti-trusts pour disloquer ces léviathans du numérique, s’explique par l’intérêt que leurs dirigeants y trouvent malgré tout. Donnant-Donnant. Jusqu'à ce qu'il soit trop tard !

Des vertes et des pas mures
Auparavant, les fact-checkers se contentaient de vérifier article par article, rumeur par rumeur, photo par photo, sondage par prévision, chiffre arrangé par donnée truquée. Et puis est arrivé Decodex, le moteur de recherche du « Monde » financé par « Google », qui juge souverainement les sites internet et les envoie en enfer, au purgatoire ou au paradis selon leur soumission à la bien-pensance du N.O.M.

S’y ajoute une merveilleuse invention 2.0 sous forme de « add on » ou « extension » adaptée à « Chrome », « Firefox » ou « Microsoft edge » qui trie automatiquement le vrai du faux et vous dit ce que vous devez penser. Avec une signalétique simpliste inspirée des feux de circulation : vert allez y, rouge stop, orange plus ou moins mûre : freinez à fond.

Vert  : Ceux qui expliquent aux Français l’intérêt que présente un rabotage de leurs retraites et de leurs droits sociaux, s’ils ne veulent pas tout perdre dans un proche avenir. Car chacun sait (parole d’énarque !) que si une partie des gens regimbe et se rebiffe, c’est parce qu’on leur a mal expliqué les mesures positives qui les concernent.

Vert : Les sites para-étatiques prétendant que le Covid-19 n’atteindrait jamais la France, puis que ce serait une simple grippette qui n’empêcherait ni de sortir ni de voter. Et que les tests et les masques ne servaient à rien…
Avant de soutenir un point de vue diamétralement opposé, en séquestrant les gens chez eux, jour et nuit, et en leur imposant des ausweis et des muselières. Avec distribution de coups de matraque et d'amendes arbitraires pour mettre au pas les récalcitrants.

Toujours vert quand les représentants de nomenklatura médicale stipendiés par les labos et paradant dans les médias, condamnaient sans retenue le protocole Raoult alors que plus de 50 pays témoignent de son efficacité.
Encore vert quand la séquestration et la dictature policière furent imposées à tout un pays, et tout aussi vert avec les masques inutiles devenus obligatoires, ordre étant donné aux  flics de verbaliser ceux qui n’en portent pas avec un zèle qu’il leur est interdit de déployer contre les trublions des rodéos, les violeurs, les incendiaires et les émeutiers !

L' inventeur inspiré du filandreux Decodex 
C’est un Libanais du nom de Nabil Wakim, membre de la Young leader French American Foundation, promotion 2012, celle de Macron… Une organisation liée au Bilderberg et à la Trilatérale avec pour objet de recruter des influenceurs dynamiques et sans scrupules, appelés à devenir des exécutants zélés au service du Nouvel Ordre Mondial.

Le C.V de Wakim n’a rien d’exceptionnel de nos jours : une maîtrise d’histoire et un mastère du CELSA, une antenne de La Sorbonne spécialisée en public relations et journalisme.
Plus intéressantes sont ses formations complémentaires de terrain : Selon ses propres dires Nabil Wakim se serait rendu en juin 2013 à Marrakech pour intervenir dans le « dialogue avec le monde arabe » organisé par la French American Foundation. Dans quel but ? « Étudier le printemps arabe » présenté comme un mouvement spontané des peuples.

Le jeune Wakim (alors 32 ans) ignorait sans doute que ces printemps médiatisés relevaient moins de révoltes populaires que de soulèvements provoqués et canalisés dans une tentative de recomposition du Moyen-Orient par les services secrets américains. Sous l’œil gourmand et attentif des Russes.
Y jouer un rôle de médiateur revenait à coopérer sans le savoir (?) à une vaste entreprise mondiale de désinformation, relayée par l’ensemble des médias occidentaux, avec « Le Monde » caracolant en tête.

Ensuite, alors qu’il enseigne le journalisme à Sciences Po Paris, tout en dirigeant « Le monde » dont il est devenu le rédac’ chef, ce qui présuppose quelques compétences ou complaisances… En 2014 alors qu’il a 33 ans, et déjà une belle carrière derrière lui, Wakim part aux USA pour « étudier le journalisme » (sic)
Renseignement pris, il a été sélectionné par la « Nieman Foundation » pour apprendre à adapter la propagande main stream aux particularités des médias numériques et sociaux : réactivité, inter-connectivité et interactivité, biais cognitifs exploitant l’émotion, manipulation des "influenceurs" et gestion d’un public virtuel sinon vertueux pour amplifier les buzz.

La loi du milieu

Le clivage est net et sans bavures. D’un côté en vert, tous les médias main stream avec subventions d’État : 483 millions d'euros d'aides exceptionnelles en août 2020 (s'ajoutant aux versements habituels) pour mieux tenir les journalistes encartés. Le covid a le dos large !
De l’autre, en rouge, ceux qui s’autofinancent et n’ont pas la carte de presse délivrée par le ministère de l'intérieur, arbitre du professionnalisme !
Sans ce sésame, ils sont réputés écrire n’importe quoi, même lorsque les auteurs sont des pointures dans le domaine dont ils dissertent… S’ils ne sont pas des mercenaires du clavier stipendiés pour défendre des intérêts inavouables.

Parfois ce classement réserve des surprises : ainsi « Valeurs actuelles » qui fut condamné pour haine raciale, est en vert… Quand « Fakir », le site de François Ruffin, député insoumis est en rouge. En contradiction apparente avec les convictions affichées par « Le Monde » mais tout à fait dans la ligne idéologique des censeurs, selon laquelle les journalistes non professionnels n’ont pas droit de cité. Et à défaut de les faire interdire (pour le moment…) on doit s’ingénier à les discréditer.

Quant à la presse étrangère, elle est traitée avec autant de désinvolture et de parti pris. Le « Daily Mail » qui a défendu des points de vue pro-Brexit est catalogué en rouge donc peu fiable, tandis que « The Guardian » avocat du Remain qui a multiplié les prédictions apocalyptiques non confirmées dans les faits, est toujours en vert.

Il est évident que « Le Monde » s’est mis dans une situation inconfortable où il est à la fois juge et partie et donc, plus du tout fiable. Porteur dès la naissance de Decodex de ce double handicap qui nuit définitivement à sa crédibilité : il ne peut convaincre que les convaincus, c’est-à-dire ceux qui se réfèrent au « Monde » pour avoir confirmation de ce qu’ils tiennent pour vrai…
Avec en contrepartie, dans le cas où Decodex dénicherait un fake (ça doit quand même arriver parfois) la forte probabilité que seront confortés dans leurs certitudes ceux qui y croient ou sont tentés d’y croire, du simple fait que l’anathème provient d’un média du système auquel ils n’accordent aucun crédit.

Noyauter les pépins, tout un art
Vu la difficulté de créer ex nihilo des sites d’information crédibles, ou de donner rapidement confiance envers ceux qui existent, ces grands professionnels ont décidé de noyauter, par l’entrisme, les amateurs qu’ils méprisent ouvertement par ailleurs.
Le nombre de passerelles, de partenariats rémunérés ou non, de partage de « codes éthiques » et d’échanges d’info entre ces différents réseaux et les blogs, les sites informatifs, et des journalistes-citoyens triés sur le volet, est impressionnant !
On les détecte aux quasi copiés-collés de leurs infos formatées façon agences de presse, répétitives et orientées. Souvent ripolinées de moraline au service de la mondialisation heureuse.

Ce Ministère de la Vérité est une pieuvre dont les tentacules se jouent des frontières, des langues vernaculaires, des cultures et des traditions locales.
Pour se légitimer, il distribue des prix et des « awards » à ses agents les plus méritants. Ainsi « ProPublica » a reçu un Pulitzer d’un jury présidé deux ans avant par Paul Steiger, président de « ProPublica » !

L’idéologie de l’oligarchie
Sur ses sites internet, le Ministère de la Vérité défend une ligne politique et sociétale qui est clairement celle de l’oligarchie : Pas touche aux intérêts des banksters, surtout ceux qui investissent dans le business vert hyper subventionné. Ni aux entreprises qui exploitent les affamés du quart monde, à Big Pharma qui vous laisse crever pour optimiser ses profits, et aux multinationales du numérique dont le chiffre d’affaires pour certaines dépasse celui de quelques états de taille respectable…

Mais pour afficher une bonne conscience et amuser la galerie, on monte en épingle « la défense des droits de l’homme et de la démocratie » qu’ils sont les premiers à piétiner là où ils opèrent… Avec l’écologisme activiste et le GIEC pour les niais, dans un monde que leurs mines, leurs usines, leurs data centers énergivoraces, leurs super tankers et leurs porte-containers géants ne cessent de polluer.

À ces termes de novlangue qui signifient destruction des frontières et des nations, mise sous tutelle des gouvernements et détournement d’attention des vrais problèmes, avec un prétendu réchauffement amplifié, il convient d’ajouter les droits des LGBT, ça ne mange pas de pain, le progressisme sociétal qui ramasse tout et n’importe quoi, et le multiculturalisme récité comme un mantra par des vieux bonzes. Mais aussi « la lutte contre le populisme et les extrêmes ». Étant qualifiés d’extrémistes, tous ceux qui refusent d’être la pâte à modeler destinée à entrer dans leurs moules.

Il suffit de voir en France comment de pseudo-journalistes, vrais nervis en quête de primes, de promotions et de pouvoir, s’acharnent à contrer et harceler toute homme ou femme politique qui "pense mal".

Résultats opérationnels : Une intégration horizontale avec des produits culturels et informatifs normalisés aux critères d’une idéologie consensuelle factice…
Et une concentration verticale qui absorbe les divers types de fournisseurs, de stockage, de diffuseurs et de supports. Super-Matrice permettant de créer un réseau de journalistes serviles, dits d’investigation (plus orwellien tu meurs !) capables de fournir des enquêtes orientées et des sondages truqués aux médias qui en sont friands.
Tout en censurant ou discréditant les informations qui dérangent en les qualifiant de « fakes dénoncés après une rigoureuse vérification des faits ».
Meilleur moyen de contrer les opinions dissidentes, d’escamoter les débats et de discréditer les contradicteurs, qu’ils proviennent de la « fachosphère », de la « gauchosphère » ou de pays rétifs pas encore entièrement soumis à l’oligarchie.
C’est le Ministère de la Vérité financé par l’Oligarchie au service exclusif des vérités décidées par l’Oligarchie. 

Les sponsors de la pieuvre numérique
Les réseaux sociaux ont pris une telle importance que, lors de l'élection présidentielle américaine de 2020, ils se sont permis d'intervenir en censurant les propos de campagne du président sortant ainsi que ceux de ses partisans qu'ils estimaient inexacts (sur quels critères et de quel droit ?) tout en mettant en valeur les assertions et propositions tendancieuses de leurs adversaires. Grosso modo les ogres du web seraient qualifiés en France de milliardaires rouges.
Cela a suscité une enquête du Sénat US qui pourrait déboucher sur des inculpations pour fraude fiscale car, en tant que plateformes de libre expression, Facebook et Twitter bénéficient d'un régime d'imposition avantageux. Ce qui n'est pas le cas des sites qui "produisent du contenu". En clair ceux qui prennent parti et utilisent leurs capacités de diffusion pour faire des campagne électorales ou d'opinion.

Déjà les élections présidentielles américaines de 2016 étaient suspectées d’avoir été influencées par des complot associant des Russes à une partie de la droite tandis que l'Etat profond soutenait la gauche la plus radicale.
Ces dérapages ont incité des gens un peu naïfs ou très cyniques à participer à la création d’un système de contrôle des informations, afin d’éviter semblables ingérences à l’avenir.

Flairant le filon, Facebook a été le premier à réagir en faisant appel aux services d’une nébuleuse allemande « Correctiv » associant une trentaine de journalistes de diverses nationalités, en leur donnant pour mission de traquer les « fake news » sur le réseau social et de débusquer et bannir leurs auteurs. Les cibles prioritaires étant naturellement ceux qui refusent la mondialisation heureuse et l’européisme béat.

« Correctiv » prétend être une ONG neutre, spécialisée dans le journalisme d’investigation et le « fact checking ». En réalité, cette officine est financée par la « Fondation Brost », dépendant du groupe de médias « Funke Mediengruppe » (anciennement WAZ) associé à la « Deutsche Bank ».

« Correctiv » est membre du « Global Investigative Journalist Network » (GIJN), financé par « l’Open Society » de George Soros, la « Fondation Ford » et « Google ». « La Banque Mondiale » et la « Commission Européenne » font aussi partie du groupe. De façon tout à fait désintéressée. Pour s’assurer que de méchants provocateurs ne vont pas utiliser la relative liberté du web pour berner le public.

Sur le plan fonctionnel, « Correctiv » s’inspire de « l’Institut Poynter » dont il affiche en vitrine les préconisations rédigées dans une bible du politiquement correct qui se fait fort de déterminer la véracité de l’info à partir de critères cauteleux à mi-chemin entre les prêches des télé évangélistes et des niaiseries à la Jean Jacques Rousseau.
FactCheckEU sa succursale en Europe chapeaute 19 médias et certifie que leurs infos sont bien conformes à la doxa mondialiste.

Surprenante école de journalisme, puisque telle est sa vocation première, qui compte parmi ses filiales, une agence de presse politique (conservatrice-libérale à la sauce américaine) ainsi que le « Tampa Bay Times » une institution qui existe depuis 1884.
Et dont on dit qu’il est conseillé à tout candidat gouverneur, sénateur ou procureur en Floride d’éviter de déplaire.
N’est-ce pas incompatible, encore une fois, d’être juge et partie, tout en se recommandant de la plus parfaite objectivité ?

« Poynter » fonctionne grâce à des dons provenant de la « Fondation Bill Gates », de « Google » dont le réchauffiste milliardaire Al Gore est un gros actionnaire, de « l’Open Society » du sympathique George Soros et de la « Knight Foundation ».
La « Knight Foundation » qui n’a rien à voir avec la chevalerie disposait en 2015 d’un fonds de 2,14 milliards de dollars pour financer divers projets journalistiques. Parmi lesquels « Wikipédia » cette encyclopédie qui se dit libre et ouverte…

Enfin pour chapeauter le tout, « ProPublica » un réseau de journalistes soi-disant indépendants, financés par un mécénat dégoulinant de déclarations de foi ronflantes et archi-politiquement correctes.
Ainsi la Fondation Carnegie qui annonce sans vergogne : « Nous œuvrons à construire un monde meilleur autour de l’utilisation des sciences, de l’amélioration des hommes et des communautés en réseau.  »
Ou la « Sandler Foundation » à la philosophie admirable : « Nous investissons dans des organisations stratégiques et favorisons des leaders exceptionnels (ndlr : Macron ?) qui cherchent à améliorer les droits, les opportunités et le bien-être des autres, en particulier les plus vulnérables et les plus défavorisés. »

S’y ajoutent, plus discrets mais non moins proactifs, le « Fondation Ford » et l’ « Open Society » de Soros laquelle se présente comme « la plus grande organisation philanthropique au monde, en matière de liberté, de démocratie et de droits humains. »
On croit rêver mais c'est un cauchemar !

Ces parangons d’honnêteté, d’objectivité et de professionnalisme travaillent avec les grands médias : ABC News, CNN, Financial Times, New York Times, Guardian, Washington Post, Huffington Post pour ce qui est des supports traditionnels… Et sur le web, en plus de leurs pendants numériques : Facebook, YouTube, Twitter, Google, Amnesty International, France Info, l’AFP et même Al-jazeera…

L’objectif avoué de ces autoproclamés vérificateurs incorruptibles de la bonne pensée étant de mettre en place une « plateforme collaborative internationale de vérification ».
En privé ils disent « de certification ». En rêvant d’un monde meilleur où l’on ne pourrait plus rien publier qui n’ait été au préalable « certifié ». Les rustres qui fuient les périphrases appellent cela de la censure. Quel manque de finesse !

Suite logique de cette emprise de la censure sur les médias et les bien mal nommés réseaux sociaux, la loi Avia présentée par une personne qui a elle-même tenu maintes fois des propos border line.
Sans la vigilance du Conseil Constitutionnel, son texte aurait permis de contourner la justice française, en sous-traitant à des entreprises étrangères l'appréciation des contenus politiquement incorrects sur le Net, sous le prétexte moralisateur de "lutter contre la haine".
Un seule protestation aurait suffi pour être condamné, effacé et banni, sans savoir ce qu'on vous reproche (sinon de vagues allégations "contraire à la charte") sans procédure contradictoire ni possibilité d'appel.
Directeur de conscience, flic de choc, juge et bourreau, Judge Dredd avec ses sentences expéditives serait presque passé pour un tendre à côté !

Mais l'annulation de la  loi Avia n'a pas enrayé une pratique omniprésente depuis 2017 : détecter, museler et bannir tous ceux qui argumentent contre la doxa en dénonçant les bienfaits de la mondialisation et les errements et mensonges du pouvoir macroniste. Tout est bon pour museler les opinions divergentes ! 

Le Ministère de la Vérité
Au service du Gouvernement Mondial
La domination culturelle des masses par de vieux préjugés ne peut être combattue et remplacée que par une autre hégémonie culturelle. Qui se donne l’air plus moderne, plus libre, plus séduisante. Et forcément ringardise les valeurs d’avant.
Dans un monde interconnecté où ordis, tablettes, smartphones, réseaux sociaux, GPS et domotique, échangent entre eux pour votre plus grand bien, et surtout pour ne jamais vous perdre de vue, l’individualisme, l’autonomie, l’anticonformisme et le patriotisme n’ont plus leur place.

L’art, l’éducation et la culture préparent le terrain. Dès les petites classes, les enseignants sont chargés de formater les jeunes cervelles et d’en faire des individus sans passé, sans racines, sans références, avec des connaissances succinctes, éparses, sans liens entre elles. Peuvent alors débouler les bataillons médiatiques qui anesthésient les masses en assénant leurs vérités irréfragables, étouffent dans l’œuf toute contestation et condamnent à la mort sociale les hérétiques.

Gramsci n’aurait sûrement pas imaginé que « la future conscience de classe » qu’il appelait de ses vœux pour renverser l’ordre ancien se traduirait par une fusion dans la confusion de nouveaux liens d’appartenance tissés par des talk shows connivents, des séries lénifiantes, des mouvements panurgiques de détestation ou d’adhésion, une presse people affligeante, des télé-crochets hypnotiques, des parangons de sagesse sortis du néant avant d’y retourner, et l’indigent prêt-à-penser des J.T.
Le tout chapeauté par le suivi numérique de chaque individu dans ses déplacements, ses fréquentations, son état de santé,  les opinions qu'il exprime... En attendant le puçage individuel. La pieuvre cuisinée à la chinoise met en appétit les oligarques.







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