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Macron dernier tremplin pour la charia
Des postures plus éloquentes qu'un long discours
Au lendemain
de la décapitation de Samuel Paty, Manucescu le dictateur de poche
tenait un discours bref mais ferme défendant le droit à la
caricature.
Quelques
jours plus tard, en bon dhimmi qu'il est, il s'en allait au Qatar
demander aux émirs pardon de son audace. Se désolidarisant des
dessinateurs et condamnant ce qu'il reste d'esprit frondeur aux
Français.
Une
baudruche qui se dégonfle au premier coup d'épingle, tel est le
personnage supposé représenter la France combattante.
Après
l'égorgement de 3 personnes dans la basilique de Nice, le 29 octobre 2020, il
reconnaît qu'il y a un léger problème avec les mahométans... Se
gardant bien de prendre des mesures de protection des Français en bouchant les passoires du Sud, mais en envoyant pour la
forme quelques unités camper sur les anciennes frontières de
l'Est... Façon désert des Tartares. Tout en laissant son sinistre
de l'inférieur annoncer qu'on va, un jour prochain, si on les
retrouve, virer une centaine de fichés S sur 5000 !
Comme tant
d'autres démagogues avant lui, il croit qu'il faut séduire l'islam
pour le réduire, et après avoir clamé sa volonté de combattre le
séparatisme islamique, il alloue en novembre 2020 aux représentants
de ce culte 10 millions d'euros volés au Français.
Les
conférences islamiques
Le dictateur en culottes courtes n'est que la dernier maillon d'une longue chaîne d'infamies.
Imaginée
au lendemain de la raclée subie lors de la guerre des 6 jours, la
première conférence islamique s'est tenue à Rabat en 1969.
L'objectif des sunnites est alors de resserrer les rangs des États
autour de « l'oumma » (communauté des croyants) afin de
retrouver la puissance de leur khalifat mythique. Mais le
panislamisme est entravé par les nationalismes arabes et les
dictateurs jaloux de leur pouvoir.
Il y avait
bien eu auparavant des tentatives de fédération par la « Ligue
Arabe » mais la présence à sa tête de Amine Al Husseini
nuisait aux relations avec l'Occident. Une personnalité trop
clivante. L'homme, grand mufti de Jérusalem, mais aussi général
des waffen SS musulmans avait écrit dans des manifestes et déclaré à la radio du IIIe Reich que « les musulmans devraient
suivre l'exemple des Allemands qui ont trouvé une solution
définitive au problème juif »
Les
Anglais et les Serbes auraient voulu qu'il soit jugé à Nuremberg pour
ses crimes commis essentiellement dans les Balkans. La France
l'exfiltra et lui offrit un sauf-conduit en échange de la promesse,
non tenue, d'user de son influence pour apaiser les tensions avec les
musulmans des colonies.
En 1973
après une nouvelle et humiliante défaite infligée aux Égyptiens
et aux Syriens par Israël, les pays arabes décident de multiplier
le prix du pétrole par 4. Par solidarité et surtout parce qu'ils
ont beaucoup à y gagner, les autres pays de l'OPEP s'alignent.
Cette
flambée des cours s'accompagne d'une volonté de nuire, par tous
les moyens possibles, aux pays jugés trop amicaux envers Israël.
Ainsi la Hollande et les USA sont privés d'approvisionnements
réguliers. La France est mise en demeure de choisir son camp sous
peine de subir les mêmes représailles.
La
détérioration des relations diplomatiques de la France avec Israël
montrent à quel point les dirigeants de notre pays peuvent être
veules et lâches, en dépit de nos bombes H. Aussi les Arabes
décident-ils de pousser leur avantage en imposant d'autres conditions.
En juin 1975 se
crée dans le plus grand silence médiatique une véritable Eurabia
définie par les infamants accords de Strasbourg où les pays de l'Europe
d'alors, tétanisés par la crise pétrolière, signent leur suicide
collectif en acceptant l'emprise des émirats sur notre économie, l'invasion ethnique et la préférence étrangère.
La vidéo initialement proposée a été retirée de ce site comme de ceux qui la proposaient. Par des cenSSeurs qui disposaient visiblement des codes d'accès. Il en reste une copie sur gloria.tv mais jusques à quand ?
Vidéo censurée
https://www.gloria.tv/post/ATFHGXYECLz93BjCGC8fFEDto#5
7-juin-1975 le jour où l'Europe a été vendue au monde arabe
Ce diktat nous régit toujours 45 ans après. Quand en novembre 2020, Moussa Darmanin ferme les églises aux chrétiens et ordonne à la milice de forcer les dhimmis à se soumettre à coups d'amendes et de matraques... Tandis que les mahométans pourront continuer à prier dans leurs mosquées et dans les rues, sans contraintes. Comme si leur allah préservait ses croyants du virus.
Les diktats
des mahométans
Parmi les
exigences de nos « partenaires » figurent en germe tous
les élément déstabilisateurs actuels, constitutifs de la guerre de civilisation, larvée jusqu'en 2019, ouverte à partir de 2020.
A savoir :
1/
Recrutement massif de travailleurs de culture arabo-musulmane et mise
en œuvre d'une politique les incitant à rester en France. Le
regroupement familial décidé par Giscard-Chirac en 1976, par
décret, sans consulter ni les élus du peuple ni les électeurs par
referendum, passa quasiment inaperçu à l'époque, dans un
assourdissant silence médiatique. Complices à gauche. Inconséquents à droite.
2/ Égalité
immédiate de droits (mais pas des devoirs!) politiques et sociaux
entre étrangers et Français. Modifications du code civil pour que
les enfants issus de couples polygames bénéficient des mêmes
droits que les autres. Et pour tous les descendants d'immigrés,
application du droit du sol sans restriction. Ces mesures étant
complétées par des naturalisations massives.
Cela permet
de berner les statistiques supposées rassurer la population en
prétendant que le nombre d'étrangers reste stable. S'y ajoute
le refus des États d'origine de reprendre leurs binationaux s'ils se
rendent indésirables en France. Ce que la France, qui n'est pas à
une lâcheté près, accepte humblement et servilement.
3/
Renonciation à la politique d'intégration des étrangers qui avait
cours jusqu'alors, en favorisant et valorisant le « droit aux
différences » : Cantines scolaires et restaurants
d'entreprises hallal, piscines séparées, voile islamique banalisé,
zones de non-droit dirigées par des imams et interdites à la
police, constructions de mosquées assorties de « madrasas »
(écoles coraniques) devenues par la magie de la sémantique des
« centres cultuRels » la lettre R en trop. Financés à
la fois par des états étrangers et des collectivités territoriales
françaises,
Le projet de
Bin Makroun de faire de l'arabe et des études coraniques des
matières obligatoires dans l'enseignement laïc est la suite logique
de cette reddition sans conditions de la France.
4/
Dévalorisation des Français, de leur histoire et de leur culture. Lorsque, en novembre 2020, Moussa Darmanin honore la mémoire des fellaghas et conchie celle du contingent français, des Pieds Noirs et des Harkis, il assume l'aspect officiel du reniement national. Comme d'autres, en
démolissant les statues de nos héros nationaux, qu'on charge de
tous les péchés et de toutes les tares. Ou en modifiant le contenu des livres d'histoire. Ou en changeant les noms des
rues, des écoles, des hôpitaux et des stades, et en martelant avec
une insistance fanatique que les musulmans nous auraient apporté la
civilisation !
Archimède,
Euclide, Ératosthène, Hipparque, Vitruve, Pline, et avant eux le
papyrus Ebers et les civilisations de l'Indus, liste non exhaustive,
inconnus au bataillon ! Quant au calife Omar qui fit brûler la
grande bibliothèque d'Alexandrie en l'an 642, après que de rares lettrés aient
sauvé des miettes des savoirs de l'antiquité, interdiction d'en
parler. « Si ces livres sont conformes au coran, ils ne servent à rien. S'ils sont impies, ils sont nuisibles. Dans les ceux cas, brûlez-les tous ! »
Et bien sûr,
Galilée, Newton, Linné, Pasteur, et jusqu'à Einstein n'ont fait
que s'inspirer de la science islamique des premiers âges.
5/
Préparation des esprits à l'application de la charia dans une
société de plus en plus islamisée. En habituant les Français aux
vêtures et coutumes islamiques, aux piscines séparées, aux cantines exclusivement hallal, aux cadis
arbitres qui règlent les conflits familiaux et patrimoniaux en
dehors du code civil... La répartition autoritaire des conquérants dans les zones rurales, la moindre bourgade, la plus petite ville, sans demander l'avis des habitants, participe de cette volonté de faire tache d'huile et de rendre l'invasion irréversible.
Sans oublier les multiples lois pénales
condamnant pour délits d'opinion quiconque ne reconnaît pas comme
« une chance pour la France » l'irruption de millions
d'étrangers, pour beaucoup des délinquants en situation
irrégulière, et pour quelques uns des terroristes fanatisés.
Dès lors on
ne peut éluder une question connexe : Les mutilations et
énucléations de manifestants, la perte des libertés fondamentales,
les ordres arbitraires et contrordres stupides, les ausweis, les
muselières, les confinements, le couvre-feu à géographie variable,
ne relèvent-ils pas d'un objectif précis : Habituer les
Français apeurés et sidérés à obéir sans réfléchir, sans protester et sans se rebiffer. En faire des zombies
Paniqués
par un virus pas pire qu'une méchante grippe. Effrayés par un
prétendu réchauffement climatique moins fort que ceux du passé.
Terrorisés par les violences des milices : LBD, grenades
défensives, gaz asphyxiants. Tétanisés par des amendes et des
condamnations à de la prison pour des délits très graves tels que
promener son chien, acheter du pain ou sortir les poubelles... Tandis
que poignarder des gens, violer des femmes, incendier voitures et
magasins et multiplier les émeutes urbaines, sont de menues
incivilités aux yeux d'une police atone et d'une justice
indifférente.
Au bout du
compte, conditionner la population pour qu'elle soit prête à la
phase ultime de la soumission : réciter la shahada pour entrer dans
l'oumma, avec laquelle les nababs du Nouvel Ordre Politique et Économique Mondial
s'entendent plutôt bien, après un partage des territoires
attribuant l'Europe à l'islam.
Les
différentes sortes de djihad
La
conquête islamique évoquée supra est appelée « djihad de
la main » (corruption des élites, infiltrations, échanges de services,
prises de positions dominantes dans l'économie) pouvant être
complété par le « djihad du cœur » qui s'applique aux conversions.
C'est
cet islam-là que la caste politico-médiatique qualifie de modéré
par opposition aux islamistes sanguinaires qui égorgent et
décapitent, et que condamnent les émirs aux pétrodollars parce
qu'ils considèrent que c'est contre-productif. Leur objectif est de
gagner cette guerre à moindres frais en appliquant les 3 préceptes
du coran pour conquérir et convertir :
D'abord
le « Dar al-Sulh », ou « pays de paix provisoire »
quand la communauté musulmane minoritaire en terre étrangère doit
être peu visible et pacifique, se livrant au commerce, à l'artisanat ou aux
activités de services. Peu à peu, les Koufars dans leur ignorance
et leur naïveté, mais aussi du fait de la cupidité de leurs
dirigeants achetés pour fermer les yeux, tolèrent le prosélytisme
islamique sans exiger la moindre réciprocité. « L'islam
laïcisé et européanisé » auquel plus personne ne croit aujourd'hui a longtemps servi d'étiquette à cette supercherie.
Ensuite
le « Dar al-Harb » ou « pays de guerre »
quand les musulmans sont assez nombreux et se sentent assez forts
pour ne plus recourir à la « takiya » (double langage)
et dévoilent leurs vrais desseins. En douceur d'abord en infiltrant
les rouages du pouvoir politique, économique et médiatique pour y
répandre leur idéologie et coopter des « frères ».
Mais si des « infidèles » s'opposent à eux, tous les
moyens sont bons pour les faire taire. Émeutes, guérillas urbaines,
intimidations, insécurité permanente, assassinats ciblés. Quitte à revenir au
premier point si ça tourne mal pour eux... Sachant que les dirigeants
français sont prêts à accepter toutes les bassesses et toutes les
humiliations en échange d'un retour au calme provisoire.
Enfin
le « dar al islam » (pays de soumission) dont on n'est
plus très loin fin 2020 comme Michel Houellebecq l'a si bien anticipé dans
« Soumission »
Les
institutions, les coutumes, les lois et les personnes finissent par
se plier au impératifs de la charia. Juifs et chrétiens sont
tolérés mais ils ont un statut inférieur, celui de dhimmis
surtaxés en échange de la «protection » que leur
accordent les musulmans, leurs droits civils et civiques sont moindres que ceux des musulmans, et ils n'ont aucune chance d'accéder à des
positions dirigeantes.
On en a déjà un aperçu quand les obligations de la dictature sanitaire (ausweis,
confinements, muselières, couvre feux) ne sont pas contrôlées dans
les zones périurbaines, véritables enclaves étrangères de fait. Tandis que la justice fait preuve d'une
étonnante mansuétude pour les contrevenants surpris en dehors de leur territoire. Ressuscitant les verdicts intuitu personæ que la Révolution
Française avait bannis.
Ainsi
la statistique officielle de la milice fait-elle état de 100.000
Français contrôlés au cours du week-end des 7 et 8 novembre 2020
pour vérifier qu'ils avaient bien une attestation leur permettant de
circuler dans leur propre pays... Tandis que 5 millions d'étrangers
clandestins étaient libres d'entrer et de circuler à leur guise
dans la plus parfaite illégalité.
Le
leurre du vivre ensemble
Le
prétendu « miracle andalou » présenté par des
imposteurs immigrationnistes comme la société idéale du vivre
ensemble reposait sur des rapports de forces et des alliances de
circonstances, permettant des paix plus ou moins durables où les
dhimmis pouvaient être un peu mieux traités en échange de
privilèges accordés aux musulmans dans les fiefs chrétiens.
Le
Cid campeador, le vrai, pas l'amoureux transi de Corneille, était un
mercenaire faisant tantôt alliance avec les chrétiens, tantôt avec
les musulmans, selon ses intérêts. Attitude révélatrice de cette
époque où le sentiment national n'existait pas et où l'on
cherchait plus à contenir l'ennemi et à partager avec lui des
butins qu'à établir des relations idylliques.
De
toute façon, les mahométans sont les premiers à clamer qu'ils
veulent continuer à se comporter dans le monde occidental comme dans
leur pays d'origine, en y appliquant leurs lois et coutumes, et que
si cela génère des frictions, ce n'est pas à eux de s'adapter...
Mais au pays hôtes et à leurs populations de modifier leurs normes
juridiques, culturelles et comportementales, comme par exemple instaurer un délit
de blasphème, abjurer l'évolutionnisme et contraindre les femmes à se vêtir de sacs de
patates.
Mais
ceci n'est que la partie visible de l'iceberg.
L'intervention
directe des islamistes dans la vie politique des nations occidentales
est plus pernicieuse parce qu'elle procède d'un entrisme progressif. Sous le masque de la démocratie. Peu
de gens s'étonnent de voir que, du jour au lendemain, les prétendus
écologistes se soucient plus de convoyer des clandestins, inaugurer
des mosquées et interdire les sapins de Noël, que de se
s'occuper de la pollution et de la détérioration de l'environnement.
Encore
moins d'analystes associent à l'influence étrangère la fureur écolo déployée contre le gaz
et le pétrole de schiste, susceptibles de limiter notre dépendance
énergétique comme aux USA, et nous mettre à l'abri des plus gros
chantages des monarchies pétrolières...
Quels
médias ont informé le public que la France dispose dans ses
schistes d'environ 20 ans d'équivalent-consommation, et sans doute
plus puisque la prospection a été prématurément interdite? Quand désormais, de nouvelles technologies permettent d'exploiter proprement cette ressource.
Serbie une
agression militaire contre nature
Le
délitement de la Yougoslavie et la création d'une enclave islamique
destinée à faire tache d'huile, est un avant-goût de ce qui attend
les Français.
Depuis
l'éclatement de la Yougoslavie, des heurts de plus en plus violents
opposaient à la Serbie les colons Albanais et Turcs, opportunément
renommés Kosovars.
Comme en Inde, aux Philippines, en Afrique, et partout en Europe, une minorité musulmane
structurée suffisamment nombreuse tente de s'imposer en alternant
guérilla urbaines et pratiques mafieuses, intimidation et
corruption, attentats et assassinats, entretenant un climat permanent
d'insécurité proche de celui d'une guerre civile. Tout en
prétendant souhaiter un règlement pacifique de ces petites
incompréhensions mutuelles.
Au bout
d'une dizaine d'années de troubles de plus en plus violents,
culminant avec la revendication d'un émirat détaché de la Serbie,
les Serbes décident de juguler le séparatisme par des moyens
militaires.
Comme
partout en temps de guerre, des excès sont commis de part et
d'autre, mais seuls ceux qu'on peut attribuer aux Serbes seront
montés en épingle par les médias. Ainsi si une grange servant de mosquée et de cache d'armes, pleine de terroristes de l'UCK, subit un tir de mortier serbe, c'est un horrible crime contre l'humanité.
Par contre, lorsque des sanctuaires orthodoxes contenant des icônes et des incunables d'une valeur inestimable sont brûlés, avec les villages alentour dont toute la population a été exterminée, c'est une bavure négligeable si on ne parvient pas à occulter l'info. Toute riposte des Serbes étant présentée comme une abominable agression contre de paisibles paysans.
Bons
prétextes pour qu'en 1998 les Américains décident de monter avec
les Anglais, les Français et les Allemands sous l'égide de l'OTAN
avec l'ONU pour alibi, une force d'invasion destinée à mettre la
Serbie à genoux. La guerre du Kosovo commence.
En Serbie, les usines,
les centrales électriques, les raffineries, les ponts, le réseau
ferroviaire, les aéroports, les casernes mais aussi des écoles, des
zones résidentielles et des hôpitaux sont pilonnés
quotidiennement, à l'aide de bombardiers et de missiles de
croisière.
Objectivement,
il n'y a aucune raison à cela. La Serbie a toujours été un pays
ami. Aucun différend ne nous oppose. Mais l'Arabie et les monarchies
du golfe ont prévenu : Si on ne vole pas au secours de leurs
« frères » Albano-Kosovars, ils vont fermer le robinet à
pétrole et faire monter les prix comme jamais.
Un vrai faux
état Kosovar sera créé, sous la protection des troupes
d'occupation, et les leaders Serbes seront poursuivis comme des bêtes
nuisibles... Tandis qu'on déroule le tapis rouge devant les
tortionnaires et les assassins venus de l'autre côté de la
frontière qui, en 2020, continuent à spolier et a exterminer des Serbes que les accords internationaux autorisaient à rester sur leurs terres ancestrales.
Encouragés
par tant de bêtise et d'aveuglement, de nombreux Albano-Kosovars
« libérés » dits « islamo-mafieux »
émigreront en masse dans les pays de l'Union Européenne pour y
entreprendre le même travail de sape qu'en Serbie.
Sous le
regard vigilant des rois du pétrole qui veillent à ce qu'on
ne dérange pas trop leurs coreligionnaires.
Est-il
besoin de préciser au vu des trouble récents en France et en
Europe, fomentés par les islamistes, que sous peu les guerres de
l'ex-Yougoslavie passeront pour d'anodines querelles de voisinage en
comparaison de l'embrasement qui attend l'Occident ?
La
Turquie, cas d'école
« Allah
n'aime que les forts » disent-ils. Leur
donner l'impression qu'on a peur, ou qu'on est trop couards pour oser
se battre, ne peut que renforcer leur agressivité.
La
Turquie est un cas d'étude. Tête de pont de l'invasion, elle
prétend désormais imposer sa loi à l’Europe après l'avoir fait
chanter et lui avoir soutiré des centaines de millions d'euros.
Pourtant,
sa force ne repose que sur l'intimidation. Pas sur des capacités militaires très affaiblies après le putsch manqué de 2016. Seuls peuvent les craindre un adversaire mal équipé comme l'Arménie, lâchement abandonnée par l'Occident, ou les bandes de barbares dépenaillés sévissant en Syrie. Car au cours des siècles passés, lors de nombreux conflits,
nous avons battu les Turcs tant de fois malgré leur supériorité
numérique qu'ils ont prudemment choisi la neutralité pendant WW2. Avant de rallier les alliés pour la forme, à la fin du conflit,
sans participer aux combats.
Aujourd'hui,
ils ont une armée de fantassins quasi-illettrés, des généraux et
des amiraux en délicatesse avec le sultan, des officiers promus à la hâte pour leur allégeance plus que pour leurs compétences, des services de renseignement démantelés et une armée de l'air qui a du engager des pilotes civils pour se reconstituer. Quant aux stratèges, il leur manque un potentiel d'adaptation créative. Or le système
décourage les initiatives non encadrées. Trop de putschs militaires restent en mémoire. Mais si une guerre se gagne en maîtrisant les
technologies les plus récentes, elle exige aussi des capacités de
réactivité en temps réel.
50 Rafales armés de bombes intelligentes et de missiles, et il n'y a plus d'armée turque !
Plusieurs
officiers supérieurs à qui j'en ai parlé sont convaincus qu'en
cas d'une attaque surprise, concomitante d'une neutralisation éclair
de leurs capacités électroniques, les Turcs ne tiendraient pas
longtemps contre nous. Malgré leur cinquième colonne. On pourrait
même s'offrir un remake de la guerre des 6 jours... Les seuls tracas sérieux pourraient provenir des performants radars Thales que la France cupide et stupide leur a vendus.
Seulement
voilà, le conducator français temporise, esquive, louvoie et
suscite le plus grand mépris du sultan, qui se permet de menacer
impunément la France et avec elle toute l'Europe par une véritable
déclaration de guerre avec ouverture des hostilités.
Quand Erdogan a dit : « Je veillerai personnellement à ce que
vous ne soyez plus jamais en sécurité chez vous ! »
Une
réponse martiale s'imposait. Pour commencer, en hors d'œuvre, une pluie de cruise missiles
contre les infrastructures stratégiques, casernes, arsenaux, ports et aéroports. Avec nos Rafales pour éliminer au sol ou en vol leurs capacités aériennes. Et des escadrilles de drones contre les gradés de haut rang
proches du sultan.
Si
le message n'est pas compris, des bombes guidées laser sur les principaux bâtiments publics et les postes de commandement. Et des daisy cutters délivrées nuitamment par des C-130 protégés par des Rafale, sur les centres miniers et
industriels, les nœuds ferroviaires, les ponts, les routes
principales. Et les palais des satrapes.
Au
lieu de ça, l'Europe a chouiné qu'elle était très contrariée
par les vilaines paroles du sultan et qu'elle les désapprouvait
fermement. Iznogoud
en a tellement rigolé que sa barbe l'a chatouillé pendant 3 jours.
Les
Occidentaux avaient pris moins de précautions oratoires avec la Serbie
qui, loin d'exercer une politique expansionniste à l'extérieur, ne
faisait que défendre l'intégrité de son territoire.
Très fier d'arborer le fez (ou tarbouche) signe distinctif des satrapes musulmans